Mais pour qui ils se prennent ?
Publié : 08 septembre 2003 23:11
Il y a des joueurs qui ont la grosse tête. La très grosse tête. Et font les divas difficiles. Des types qui pensent qu'être international est un droit et non pas un privilège. Ca se passe dans tous les pays et en tous temps. Cependant, en ce moment, il y en a de toutes les sortes en équipe de France (où, il faut le dire, c'est assez malvenu de se prendre pour un autre tellement il y a d'internationaux potentiels). C'est donc par eux que je vais illustrer mon propos.
- "Je veux jouer" : triste à dire, mais le moins pire des cas énumérés. Le type croit tout simplement qu'il doit être titulaire et que les autres à son poste sont tous moins bons que lui. Et s'ils se retrouve sur le banc, merci, au revoir, adieu (et pas à bientôt). Exemple : Vincent Candela, qui n'accepte pas d'être la doublure de Lizarazu (qui n'est pourtant, jusqu'à preuve du contraire, pas une merde).
- "J'ai toujours raison" : quoi qu'il advienne, le type de joueurs casse-couilles qui aura toujours quelque chose à reprocher à tout le monde. L'exemple parfait : Nicolas Anelka. Bien pire que le premier qui, lui, se casse et ferme sa gueule, ce genre de joueur va à toutes les occasions qui se présentent casser du sucre sur le dos de tout le monde. Et surtout, pas question de se remettre en question.
- "La diva" : le gros cou des gros cou. Lui, il estime qu'il a droit à un traitement particulier. S'il n'est pas sélectionné, d'accord, mais il lui faut des explications. Comme si le sélectionneur, Jacques Santini en l'occurrence, allait appeler tous les sélectionnables (avec la France, bonjour la note de téléphone et le temps que ça prend) pour leur expliquer les raisons de son choix. Et si le gars revient à peine dans le coup, pas grave, il veut quand même ses explications. Et un traitement de faveur par rapport aux jeunes. Son modèle vient de sortir chez les Bleus et porte le nom d'Emmanuel Petit. Evidemment, la rancoeur est grande et au lieu de se battre pour sa place, il décide de ne plus se mettre à la disposition de l'entraîneur.
Avec tout ça, Jacques Santini en aurait des problèmes s'il entraînait n'importe quelle équipe moyenne. Mais voilà, c'est la France, et finalement, tous ces emmerdeurs au sale caractère l'arrangent bien : ça résout en partie les choix difficiles qu'il doit effectuer et élimine des pommes qui pourraient pourrir l'ambiance...
- "Je veux jouer" : triste à dire, mais le moins pire des cas énumérés. Le type croit tout simplement qu'il doit être titulaire et que les autres à son poste sont tous moins bons que lui. Et s'ils se retrouve sur le banc, merci, au revoir, adieu (et pas à bientôt). Exemple : Vincent Candela, qui n'accepte pas d'être la doublure de Lizarazu (qui n'est pourtant, jusqu'à preuve du contraire, pas une merde).
- "J'ai toujours raison" : quoi qu'il advienne, le type de joueurs casse-couilles qui aura toujours quelque chose à reprocher à tout le monde. L'exemple parfait : Nicolas Anelka. Bien pire que le premier qui, lui, se casse et ferme sa gueule, ce genre de joueur va à toutes les occasions qui se présentent casser du sucre sur le dos de tout le monde. Et surtout, pas question de se remettre en question.
- "La diva" : le gros cou des gros cou. Lui, il estime qu'il a droit à un traitement particulier. S'il n'est pas sélectionné, d'accord, mais il lui faut des explications. Comme si le sélectionneur, Jacques Santini en l'occurrence, allait appeler tous les sélectionnables (avec la France, bonjour la note de téléphone et le temps que ça prend) pour leur expliquer les raisons de son choix. Et si le gars revient à peine dans le coup, pas grave, il veut quand même ses explications. Et un traitement de faveur par rapport aux jeunes. Son modèle vient de sortir chez les Bleus et porte le nom d'Emmanuel Petit. Evidemment, la rancoeur est grande et au lieu de se battre pour sa place, il décide de ne plus se mettre à la disposition de l'entraîneur.
Avec tout ça, Jacques Santini en aurait des problèmes s'il entraînait n'importe quelle équipe moyenne. Mais voilà, c'est la France, et finalement, tous ces emmerdeurs au sale caractère l'arrangent bien : ça résout en partie les choix difficiles qu'il doit effectuer et élimine des pommes qui pourraient pourrir l'ambiance...