Tchéquie - Danemark
Publié : 26 juin 2004 2:01
Le quart de finale de l'Euro-2004 de football entre la République tchèque et le Danemark, le seul opposant deux anciens vainqueurs, s'annonce équilibré entre des Tchèques à l'attaque de feu (7 buts) et des Danois sans point faible, dimanche (20h45) à Porto.
En 1992, les Vikings avaient créé la surprise de l'Euro suédois en battant l'Allemagne (2-0) en finale. En 1996, les Tchèques, 20 ans après s'être imposés avec la Tchécoslovaquie, avaient connu leur heure de gloire en Angleterre. Mais s'étaient inclinés en finale (1-2, but en or) face à la Mannschaft.
Les Tchèques, dans un groupe D relevé (Pays-Bas, Allemagne, Lettonie), ont tenu les promesses formulées sur eux en remportant trois victoires en trois matches (7 buts marqués, 4 encaissés). Et les <i>«remplaçants»</i> ont montré contre l'Allemagne (2-1) l'étendue des ressources d'une équipe séduisante et offensive.
Les Danois ont également été convaincants pour tenir en échec l'Italie (0-0) et résister aux assauts de la Suède (2-2) dans un groupe C lui aussi délicat. Peut-être moins flamboyants offensivement que leurs cousins scandinaves, ils ont en revanche montré une solide assise défensive - à l'image de l'excellent Thomas Soerensen - et une rigueur tactique très <i>«italienne»</i>.
En alignant une équipe bis contre l'Allemagne, Brueckner a toutefois l'avantage d'avoir pu faire souffler ses cadres tout en impliquant l'ensemble du groupe puisque le troisième gardien Antonin Kinsky est désormais le seul à ne pas avoir joué.
Les Danois sont plus démunis au point de vue de l'effectif puisque Ebbe Sand est incertain mais optimiste alors que le défenseur Niclas Jensen est forfait.
Les Danois n'ont certes gagné qu'une fois de leur histoire contre les Tchèques (ou avant les Tchécoslovaques). Mais cela s'est produit lors de leur dernière confrontation, le 2 juin 2001.
En 1992, les Vikings avaient créé la surprise de l'Euro suédois en battant l'Allemagne (2-0) en finale. En 1996, les Tchèques, 20 ans après s'être imposés avec la Tchécoslovaquie, avaient connu leur heure de gloire en Angleterre. Mais s'étaient inclinés en finale (1-2, but en or) face à la Mannschaft.
Les Tchèques, dans un groupe D relevé (Pays-Bas, Allemagne, Lettonie), ont tenu les promesses formulées sur eux en remportant trois victoires en trois matches (7 buts marqués, 4 encaissés). Et les <i>«remplaçants»</i> ont montré contre l'Allemagne (2-1) l'étendue des ressources d'une équipe séduisante et offensive.
Les Danois ont également été convaincants pour tenir en échec l'Italie (0-0) et résister aux assauts de la Suède (2-2) dans un groupe C lui aussi délicat. Peut-être moins flamboyants offensivement que leurs cousins scandinaves, ils ont en revanche montré une solide assise défensive - à l'image de l'excellent Thomas Soerensen - et une rigueur tactique très <i>«italienne»</i>.
En alignant une équipe bis contre l'Allemagne, Brueckner a toutefois l'avantage d'avoir pu faire souffler ses cadres tout en impliquant l'ensemble du groupe puisque le troisième gardien Antonin Kinsky est désormais le seul à ne pas avoir joué.
Les Danois sont plus démunis au point de vue de l'effectif puisque Ebbe Sand est incertain mais optimiste alors que le défenseur Niclas Jensen est forfait.
Les Danois n'ont certes gagné qu'une fois de leur histoire contre les Tchèques (ou avant les Tchécoslovaques). Mais cela s'est produit lors de leur dernière confrontation, le 2 juin 2001.