Les aventures de Bernier en Norvège...
Publié : 12 février 2004 9:09
http://www.rds.ca/soccer/chroniques/SOC ... AC27F.html
Patrice Bernier adore son aventure en Norvège

Mercredi 11 février 2004 - (RDS) - Patrice Bernier a débuté sa carrière professionnelle avec l'Impact de Montréal lors de l'année 2000. Après une union de trois saisons, le Québécois obtient un essai avec une formation suédoise, puis avec une équipe Norvégienne. Il s'entend finalement là-bas avec le Moss FK, en 2e division. Une nouvelle aventure commence, direction Norvège.
"Je n'avais pas de complexe. Je devais seulement m'adapter à leur façon de jouer, mais je n'ai jamais douté de mes aptitudes. C'était seulement une question d'adaptation", a indiqué Bernier.
Le calibre en deuxième division norvégienne est bon, mais Bernier pense que les meilleures formations de la A-League y feraient bonne figure. Les revenus sont toutefois plus intéressants en Scandinavie pour le milieu de terrain Québécois. En plus de son salaire, l'équipe paie son appartement et lui fourni une voiture.
Le rêve de jouer en Europe déjà réalisé, Bernier est même venu bien près de passer en 1re division, avec une autre formation. L'équipe de Fredrikstad grimpait cette année à la ligue élite norvégienne et elle a tenté d'obtenir son transfert.
"Il y avait l'équipe rivale qui était intéressée d'acquérir mes services. Elle voulait acheter les contrats de deux joueurs de notre équipe, mais notre équipe ne voulait pas se départir de deux joueurs. Ils ont donc seulement cédé l'autre joueur et m'ont gardé. Je serai joueur autonome à la fin de la saison. Si je fais bien, je pourrai aussi tenter ma chance en Suède, au Danemark ou ailleurs", a expliqué Bernier.
C'est vrai, le soccer est plus populaire sur le vieux continent que chez nous. Par contre, sachez que l'Impact n'a rien à envier aux équipes de 2e division Norvégienne au niveau des foules. Pendant que plus de 7000 spectateurs par match se déplaçaient au Complexe Sportif Claude-Robillard l'été dernier, le Moss FK en attirait seulement entre 1500 et 2000 par rencontre. L'ambiance est toutefois complètement différente.
"Les spectateurs chantent. Ils sont tous vêtus aux couleurs de leur équipe. Il y a beaucoup de drapeaux, de foulards. Il n'y a pas beaucoup de monde, mais ceux qui sont là sont très bruyants", a laissé entendre Bernier.
Si l'aventure en Europe devait mal tourner pour Bernier, il pourrait toujours envisager un retour à Montréal. La direction de l'Impact lui a d'ailleurs confirmé qu'il serait toujours le bienvenu avec l'équipe.
Patrice Bernier adore son aventure en Norvège

Mercredi 11 février 2004 - (RDS) - Patrice Bernier a débuté sa carrière professionnelle avec l'Impact de Montréal lors de l'année 2000. Après une union de trois saisons, le Québécois obtient un essai avec une formation suédoise, puis avec une équipe Norvégienne. Il s'entend finalement là-bas avec le Moss FK, en 2e division. Une nouvelle aventure commence, direction Norvège.
"Je n'avais pas de complexe. Je devais seulement m'adapter à leur façon de jouer, mais je n'ai jamais douté de mes aptitudes. C'était seulement une question d'adaptation", a indiqué Bernier.
Le calibre en deuxième division norvégienne est bon, mais Bernier pense que les meilleures formations de la A-League y feraient bonne figure. Les revenus sont toutefois plus intéressants en Scandinavie pour le milieu de terrain Québécois. En plus de son salaire, l'équipe paie son appartement et lui fourni une voiture.
Le rêve de jouer en Europe déjà réalisé, Bernier est même venu bien près de passer en 1re division, avec une autre formation. L'équipe de Fredrikstad grimpait cette année à la ligue élite norvégienne et elle a tenté d'obtenir son transfert.
"Il y avait l'équipe rivale qui était intéressée d'acquérir mes services. Elle voulait acheter les contrats de deux joueurs de notre équipe, mais notre équipe ne voulait pas se départir de deux joueurs. Ils ont donc seulement cédé l'autre joueur et m'ont gardé. Je serai joueur autonome à la fin de la saison. Si je fais bien, je pourrai aussi tenter ma chance en Suède, au Danemark ou ailleurs", a expliqué Bernier.
C'est vrai, le soccer est plus populaire sur le vieux continent que chez nous. Par contre, sachez que l'Impact n'a rien à envier aux équipes de 2e division Norvégienne au niveau des foules. Pendant que plus de 7000 spectateurs par match se déplaçaient au Complexe Sportif Claude-Robillard l'été dernier, le Moss FK en attirait seulement entre 1500 et 2000 par rencontre. L'ambiance est toutefois complètement différente.
"Les spectateurs chantent. Ils sont tous vêtus aux couleurs de leur équipe. Il y a beaucoup de drapeaux, de foulards. Il n'y a pas beaucoup de monde, mais ceux qui sont là sont très bruyants", a laissé entendre Bernier.
Si l'aventure en Europe devait mal tourner pour Bernier, il pourrait toujours envisager un retour à Montréal. La direction de l'Impact lui a d'ailleurs confirmé qu'il serait toujours le bienvenu avec l'équipe.