Un club école de l'Impact
Publié : 20 septembre 2005 15:43
Un club école de l'Impact
C'est sérieux, selon le président Saputo
Sébastien Lajoie
La Tribune
Sherbrooke
Le président de l'Impact de Montréal, Joey Saputo, est clair: le projet d'établir un club école pour son équipe au Québec, c'est du solide.
Sans pour autant préciser quelle serait la ville choisie, il est clair pour le grand manitou de l'Impact que la demande doit provenir des associations régionales.
La possible création d'un club de deuxième division au Québec concrétiserait plusieurs objectifs. D'abord, il permettrait de développer de futurs joueurs pour le grand club, en plus d'amener des débouchés pour les joueurs élites qui sont présentement bloqués au niveau senior AAA.
Une catégorie dont le calibre n'est pas suffisant, argue le président de l'Impact, pour la US League. "C'est malheureux, mais ces joueurs des ligues élites ne sont pas confrontés au même challenge que l'on peut retrouver dans une ligue de deuxième division aux États-Unis, par exemple. Nous aimerions avoir accès à des joueurs évoluant avec le même style de jeu, les mêmes techniques", a-t-il affirmé lors d'un entretien téléphonique avec La Tribune.
C'est sérieux, selon le président Saputo
Sébastien Lajoie
La Tribune
Sherbrooke
Le président de l'Impact de Montréal, Joey Saputo, est clair: le projet d'établir un club école pour son équipe au Québec, c'est du solide.
Sans pour autant préciser quelle serait la ville choisie, il est clair pour le grand manitou de l'Impact que la demande doit provenir des associations régionales.
La possible création d'un club de deuxième division au Québec concrétiserait plusieurs objectifs. D'abord, il permettrait de développer de futurs joueurs pour le grand club, en plus d'amener des débouchés pour les joueurs élites qui sont présentement bloqués au niveau senior AAA.
Une catégorie dont le calibre n'est pas suffisant, argue le président de l'Impact, pour la US League. "C'est malheureux, mais ces joueurs des ligues élites ne sont pas confrontés au même challenge que l'on peut retrouver dans une ligue de deuxième division aux États-Unis, par exemple. Nous aimerions avoir accès à des joueurs évoluant avec le même style de jeu, les mêmes techniques", a-t-il affirmé lors d'un entretien téléphonique avec La Tribune.