Dwight Barnett congédié...Joqueviel réprimandé...
Publié : 03 juin 2008 14:22
Nick Desentis qui fait encore des siennes.... (Source: Radio-Canada)
L'entraîneur Nick De Santis et le congédié Dwight Barnett reviennent sur les départs de lundi. Pendant ce temps, la vie poursuit son cours à l'entraînement.
Comme c'est souvent le cas au moment d'un congédiement, les versions sont aussi nombreuses que contradictoires.
Sans surprise, Dwight Barnett, dans le rôle du joueur remercié, et Nick De Santis, dans le rôle de l'entraîneur et responsable du congédiement, ne s'entendent pas.
Sans entrer dans les détails, De Santis parle « d'incidents » impliquant le rapide attaquant, libéré lundi quelques jours après avoir amorcé le match contre le Toronto FC. Il ajoute que c'était avant tout un « problème d'intégration », comme le lui ont dit certains joueurs.
L'ancien de l'Université Lynn pense plutôt qu'il a été congédié parce que son contrat était facile à révoquer. « Nick est venu nous voir dans le vestiaire vendredi et a dit qu'il y aurait des changements. Le lendemain soir, on m'a appelé pour me dire que je devais rencontrer Nick. J'ai tout de suite su. »
Selon Barnett, il avait plusieurs amis dans le vestiaire, notamment Charles Gbeke et Andrew Weber. « C'était un bon groupe et je me suis fait de bons amis à Montréal. »
Pour expliquer le congédiement, De Santis avait aussi affirmé sur les ondes d'une radio de Montréal « qu'il y avait des ego que l'équipe aurait acceptés si le joueur faisait la différence chaque match ». Barnett réplique: « Coup bas! »
« Je n'ai jamais chialé, je n'ai jamais critiqué les décisions de l'entraîneur. Je suis surpris qu'il dise ça. J'ai simplement demandé à ce que l'équipe ne me garde pas dans le noir. »
Quoi qu'il en soit, l'expérience Barnett aura duré à peine plus de deux mois. Les faits demeurent: le New-Yorkais était rapide, travaillant, mais sa touche de ballon était déficiente. À 26 ans, aurait-il pu s'épanouir dans les années à venir? On ne le saura jamais...
Pendant ce temps
Pendant ce temps, la vie poursuivait son cours chez l'Impact de Montréal, qui affronte le Miami FC mercredi. Objectif: marquer un premier but en six matchs!
Pour ce faire, Charles Gbeke sera encore en fer de lance à l'attaque, avec Joey Gjertsen à ses côtés. L'électrisant Rocco Placentino sera encore sur l'aile gauche.
« J'ai l'impression que j'ai retrouvé la confiance de l'entraîneur, a dit le grand Ivoirien à l'entraînement, mardi. Je m'entends bien avec Joey et je suis heureux aussi avec Rocco. Nous allons marquer demain. »
Au milieu, le vétéran Mauro Biello retrouvera les partants. À la défense, il pourrait y avoir un changement majeur, une décision de dernière minute de De Santis.
L'entraîneur pratiquait les coups de pied de coin avec ses partants lorsqu'il a perdu patience envers Cédric Joqueviel. Il a alors demandé à Nevio Pizzolitto, de retour d'une absence de trois semaines en raison d'une douleur à une épaule, de le remplacer à pied levé.
« C'est possible que je remplace Joqueviel par Nevio. Ce sera une décision à prendre le jour du match. Nevio ne sera peut-être pas dans le rythme après avoir été parti si longtemps. »
L'entraîneur Nick De Santis et le congédié Dwight Barnett reviennent sur les départs de lundi. Pendant ce temps, la vie poursuit son cours à l'entraînement.
Comme c'est souvent le cas au moment d'un congédiement, les versions sont aussi nombreuses que contradictoires.
Sans surprise, Dwight Barnett, dans le rôle du joueur remercié, et Nick De Santis, dans le rôle de l'entraîneur et responsable du congédiement, ne s'entendent pas.
Sans entrer dans les détails, De Santis parle « d'incidents » impliquant le rapide attaquant, libéré lundi quelques jours après avoir amorcé le match contre le Toronto FC. Il ajoute que c'était avant tout un « problème d'intégration », comme le lui ont dit certains joueurs.
L'ancien de l'Université Lynn pense plutôt qu'il a été congédié parce que son contrat était facile à révoquer. « Nick est venu nous voir dans le vestiaire vendredi et a dit qu'il y aurait des changements. Le lendemain soir, on m'a appelé pour me dire que je devais rencontrer Nick. J'ai tout de suite su. »
Selon Barnett, il avait plusieurs amis dans le vestiaire, notamment Charles Gbeke et Andrew Weber. « C'était un bon groupe et je me suis fait de bons amis à Montréal. »
Pour expliquer le congédiement, De Santis avait aussi affirmé sur les ondes d'une radio de Montréal « qu'il y avait des ego que l'équipe aurait acceptés si le joueur faisait la différence chaque match ». Barnett réplique: « Coup bas! »
« Je n'ai jamais chialé, je n'ai jamais critiqué les décisions de l'entraîneur. Je suis surpris qu'il dise ça. J'ai simplement demandé à ce que l'équipe ne me garde pas dans le noir. »
Quoi qu'il en soit, l'expérience Barnett aura duré à peine plus de deux mois. Les faits demeurent: le New-Yorkais était rapide, travaillant, mais sa touche de ballon était déficiente. À 26 ans, aurait-il pu s'épanouir dans les années à venir? On ne le saura jamais...
Pendant ce temps
Pendant ce temps, la vie poursuivait son cours chez l'Impact de Montréal, qui affronte le Miami FC mercredi. Objectif: marquer un premier but en six matchs!
Pour ce faire, Charles Gbeke sera encore en fer de lance à l'attaque, avec Joey Gjertsen à ses côtés. L'électrisant Rocco Placentino sera encore sur l'aile gauche.
« J'ai l'impression que j'ai retrouvé la confiance de l'entraîneur, a dit le grand Ivoirien à l'entraînement, mardi. Je m'entends bien avec Joey et je suis heureux aussi avec Rocco. Nous allons marquer demain. »
Au milieu, le vétéran Mauro Biello retrouvera les partants. À la défense, il pourrait y avoir un changement majeur, une décision de dernière minute de De Santis.
L'entraîneur pratiquait les coups de pied de coin avec ses partants lorsqu'il a perdu patience envers Cédric Joqueviel. Il a alors demandé à Nevio Pizzolitto, de retour d'une absence de trois semaines en raison d'une douleur à une épaule, de le remplacer à pied levé.
« C'est possible que je remplace Joqueviel par Nevio. Ce sera une décision à prendre le jour du match. Nevio ne sera peut-être pas dans le rythme après avoir été parti si longtemps. »