La fable de l'Impact
Publié : 28 juillet 2008 22:28
Cette histoire commence en 1993. Un jeune bambin nommé l'Impact naissait, si jeune mais si imposant pour son âge. À deux ans, à même les tétés de sa maman (et dieu sait qu'il en a, des mamans..), l'Impact réussit l'impossible. Il gagne le prestigieux concours du plus talentueux enfant décerné par la American Professionnal Soccer (Kids) League. Suivra quelques années ou l'Impact performa assez bien aussi à ce concours sans toutefois le gagner, concours maintenant organisé par la A-League. À 6-7 ans, l'Impact y allait déjà de quelques petites crises et menacait même de mettre fin à ces jours si on ne l'écoutait pas. En 2001, les parents de l'Impact décidèrent de le faire adopter, n'étant plus en mesure de s'en occuper et ses nouveaux parents avaient un peu plus de profondeur à leur porte-feuilles.
En 2004, l'Impact réussit pour une deuxième fois à mettre la main sur le championnat A-League et commence maintenant à être connu partout dans la province et même envié ailleurs au Canada en recevant de nombreux trophées, notamment pour la troisième fois de suite celui des Voyageurs.
À cette époque, l'Impact se questionnait toujours autant. "Veuille-je vraiment devenir majeur? Quand on devient majeur, on perd toutes nos libertés et en plus les gens majeurs ne sont pas si meilleurs que nous", se disait le cerveau de l'Impact, Joey Saputo. Mais vint 2007, puis 2008 et l'Impact alors âgé de 15 ans se dit qu'il le veuilles ou non il fallait devenir majeur.
L'Impact demanda alors conseil et support à son parain plein d'cash pour l'aider à accéder à la majorité en étant responsable et en santé financière. Lui il l'a l'affaire, s't'un amaricain. Il fallait être prêt pour 2011, l'année de ses 18 ans. L'Impact ne paraissait pas si mal, tenant même le coup contre son grand frère canadien, Toronto FC. Il mangeait par contre beaucoup trop d'aliments ayant des taux élevés de graisses tels que des gros jambons, des grosses poitrines and all the family qui s'en foutent du soccer, ce qui était loin d'être bon pour son coeur, le Stade Saputo.
L'Impact se devait de changer ses habitudes alimentaires car il risquait de bloquer ses artères qui amènent toute la vie à son coeur, les Ultras. Le cerveau, en mode épicurien, continua tout de même de manger plein d'aliments remplis de cholestérol au lieu d'axer son régime (de marketing) sur les vitamines et les omega 3, qui pourraient aider les artères à amener santé et vie au coeur de l'Impact. Cette décision couta cher à l'Impact. Son surplus de cholestérol envahit ses artères et les bloqua, son coeur arrêtant alors de pomper. L'Impact était mort, avant même avoir atteint la majorité.
La leçon de cette histoire : Si vous voulez que votre coeur continue de battre, ne négligez pas vos artères.
Sur ce, j'espère que l'organisation pourra changer ses habitudes alimentaires, car ça serait un choc de mourir alors que le soccer n'est encore qu'au stade de développement dans cette province.
PS: Oui je sais que ça sort vraiment de nowhere mais ça m'a aidé à décompresser.
En 2004, l'Impact réussit pour une deuxième fois à mettre la main sur le championnat A-League et commence maintenant à être connu partout dans la province et même envié ailleurs au Canada en recevant de nombreux trophées, notamment pour la troisième fois de suite celui des Voyageurs.
À cette époque, l'Impact se questionnait toujours autant. "Veuille-je vraiment devenir majeur? Quand on devient majeur, on perd toutes nos libertés et en plus les gens majeurs ne sont pas si meilleurs que nous", se disait le cerveau de l'Impact, Joey Saputo. Mais vint 2007, puis 2008 et l'Impact alors âgé de 15 ans se dit qu'il le veuilles ou non il fallait devenir majeur.
L'Impact demanda alors conseil et support à son parain plein d'cash pour l'aider à accéder à la majorité en étant responsable et en santé financière. Lui il l'a l'affaire, s't'un amaricain. Il fallait être prêt pour 2011, l'année de ses 18 ans. L'Impact ne paraissait pas si mal, tenant même le coup contre son grand frère canadien, Toronto FC. Il mangeait par contre beaucoup trop d'aliments ayant des taux élevés de graisses tels que des gros jambons, des grosses poitrines and all the family qui s'en foutent du soccer, ce qui était loin d'être bon pour son coeur, le Stade Saputo.
L'Impact se devait de changer ses habitudes alimentaires car il risquait de bloquer ses artères qui amènent toute la vie à son coeur, les Ultras. Le cerveau, en mode épicurien, continua tout de même de manger plein d'aliments remplis de cholestérol au lieu d'axer son régime (de marketing) sur les vitamines et les omega 3, qui pourraient aider les artères à amener santé et vie au coeur de l'Impact. Cette décision couta cher à l'Impact. Son surplus de cholestérol envahit ses artères et les bloqua, son coeur arrêtant alors de pomper. L'Impact était mort, avant même avoir atteint la majorité.
La leçon de cette histoire : Si vous voulez que votre coeur continue de battre, ne négligez pas vos artères.
Sur ce, j'espère que l'organisation pourra changer ses habitudes alimentaires, car ça serait un choc de mourir alors que le soccer n'est encore qu'au stade de développement dans cette province.
PS: Oui je sais que ça sort vraiment de nowhere mais ça m'a aidé à décompresser.
