Pas certain de comprendre pourquoi un acheteur potentiel de l'Impact doit absolument se payer également des billets de saisons du CH, des Als et d'une équipe de baseball qui n'existe pas...millerp80 a écrit : ↑24 mai 2017 12:19 Population de 4m...oui et après? Moi je parle du pouvoir d'achat. Combien de gens ont la capacité de se payer des billets de saisons de l'impact ( plus cher que ce que ca coute présentement), des billets de saisons aux Expos et au Canadien?...je n'ai meme pas inclus les Allouetes.
En 2015, le revenu moyen familial a Atlanta était de 70,603$ (http://www.deptofnumbers.com/income/georgia/atlanta/)millerp80 a écrit : ↑24 mai 2017 12:19 Tu parles d'Atlanta? Es tu sérieux....l'économie du grand Atlanta est plus grosse que celle du Québec en entier...tu n'as aucune idée comment il y a de l'argent à Atlanta. 32 000 billets de saisons au Atlanta United, c'est plus de 40 000 billets pour Falcons, les Braves c'est 20 000 billets de saisons, et les Hawks...je n'ai pas trouvé les chiffres mais ca doit tourner aux alentours de 10 000 au moins c'est sans compté le football collegial. Phialdelphie....on en parle meme pas. C'est meme pas proche. Seattle? C'est également plus riche que le Quebec en entier. Toronto? ( 40 000 par match 81 soirs par année au blue jays ( les billets sont très chers), c'est salle comble au Leafs, eux qui ont les billets les plus cher de la lnh, c'est salle comble au raptors, c'est 26 000 chez les clows...sans compter les sports mineurs et la CFL.
En 2014, le revenu moyen familial a Montréal était de 75,010$ (http://www.statcan.gc.ca/tables-tableau ... 7a-fra.htm)
Il y a certe plusieurs facteurs a considérer, et je ne sais pas si mes chiffres sont les bons (un économiste pourrait me confirmer). Mais a priori on dirait pas que les habitants d'Atlanta sont si riche que ca. Surtout si ton seul arguement pour déterminer leur santé financière est le nombres de billets de saison vendu pour leurs équipes sportives.
Au contraire, sans le vouloir, t'a peut-être prouver mon point: t'a pas besoin d'être nécessairement un pole financier pour être une ville de sport.