par Bxl Boy » 11 juin 2004 18:54
Placé dans la même
position délicate que la Belgique, il y a quatre ans, le Portugal,
pays hôte de l'Euro-2004 de football, doit absolument battre la Grèce,
samedi au stade du Dragon de Porto, en match d'ouverture de la XIIe
édition du championnat d'Europe des nations.
On se souvient qu'à l'époque de l'Euro-2000, les Diables Rouges de
Robert Waseige avaient battu les Suédois 2-1, laissant espérer une
belle suite de compétition mais qui tourna à la confusion après les
défaites devant l'Italie et la Turquie.
Les Portugais, opposé à la Grèce, considéré comme l'adversaire le
plus faible du groupe A, absent de l'Euro depuis 1980, ne peuvent pas
faire moins que de gagner s'ils veulent justifier leur rôle de favori.
La Selecçao possède tous les atouts pour dépasser son meilleur
résultat à ce jour dans cette compétition: une demi-finale, à deux
reprises (1984, 2000).
La plus jeune sélection portugaise de l'histoire (avec 26 ans de
moyenne d'âge) est guidée par l'expérimenté brésilien Luiz Felipe
Scolari, 55 ans, nommé en janvier 2003, six mois après avoir mené le
Brésil à un cinquième titre de Champion du monde.
La présence dans le groupe de six joueurs du FC Porto, vainqueurs
cette saison du Championnat national et de la Ligue des champions,
mais aussi des talentueux attaquants Figo (Rela Madrid) et Pauleta
(PSG) a fait souffler un nouveau vent de confiance sur la Selecçao qui
s'attend toutefois à rencontrer une défense grecques solide.
Les deux équipes se sont rencontrées fin 2003 à Aveiro, en match
amical, et la Grèce y avait ramené un partage 1-1.
L'arrivée à la tête de la sélection en 2001 du vétéran allemand
Otto Rehhagel, 65 ans, a transfiguré l'équipe, qui a créé la sensation
en dominant le groupe 6 des qualifications de l'Euro devant des
équipes comme l'Espagne et l'Ukraine.
Les Grecs comptent sur le flair tactique de Rehhagel et sur une
défense solide (4 buts encaissés en 8 matches lors des
qualifications). Mais leur attaque, généralement confiée à un seul
joueur, a été la plus famélique des qualifications, avec un seul
petit but de moyenne.
Il n'en reste pas moins que la Grèce n'a rien à perdre. Toute la
pression reposera sur les Portugais. Ce à quoi répond le défenseur
Beto: "La pression est habituelle en football. Nous sommes confiants
et unis pour débuter ce championnat par une victoire et répondre aux
attentes de notre pays."
Placé dans la même
position délicate que la Belgique, il y a quatre ans, le Portugal,
pays hôte de l'Euro-2004 de football, doit absolument battre la Grèce,
samedi au stade du Dragon de Porto, en match d'ouverture de la XIIe
édition du championnat d'Europe des nations.
On se souvient qu'à l'époque de l'Euro-2000, les Diables Rouges de
Robert Waseige avaient battu les Suédois 2-1, laissant espérer une
belle suite de compétition mais qui tourna à la confusion après les
défaites devant l'Italie et la Turquie.
Les Portugais, opposé à la Grèce, considéré comme l'adversaire le
plus faible du groupe A, absent de l'Euro depuis 1980, ne peuvent pas
faire moins que de gagner s'ils veulent justifier leur rôle de favori.
La Selecçao possède tous les atouts pour dépasser son meilleur
résultat à ce jour dans cette compétition: une demi-finale, à deux
reprises (1984, 2000).
La plus jeune sélection portugaise de l'histoire (avec 26 ans de
moyenne d'âge) est guidée par l'expérimenté brésilien Luiz Felipe
Scolari, 55 ans, nommé en janvier 2003, six mois après avoir mené le
Brésil à un cinquième titre de Champion du monde.
La présence dans le groupe de six joueurs du FC Porto, vainqueurs
cette saison du Championnat national et de la Ligue des champions,
mais aussi des talentueux attaquants Figo (Rela Madrid) et Pauleta
(PSG) a fait souffler un nouveau vent de confiance sur la Selecçao qui
s'attend toutefois à rencontrer une défense grecques solide.
Les deux équipes se sont rencontrées fin 2003 à Aveiro, en match
amical, et la Grèce y avait ramené un partage 1-1.
L'arrivée à la tête de la sélection en 2001 du vétéran allemand
Otto Rehhagel, 65 ans, a transfiguré l'équipe, qui a créé la sensation
en dominant le groupe 6 des qualifications de l'Euro devant des
équipes comme l'Espagne et l'Ukraine.
Les Grecs comptent sur le flair tactique de Rehhagel et sur une
défense solide (4 buts encaissés en 8 matches lors des
qualifications). Mais leur attaque, généralement confiée à un seul
joueur, a été la plus famélique des qualifications, avec un seul
petit but de moyenne.
Il n'en reste pas moins que la Grèce n'a rien à perdre. Toute la
pression reposera sur les Portugais. Ce à quoi répond le défenseur
Beto: "La pression est habituelle en football. Nous sommes confiants
et unis pour débuter ce championnat par une victoire et répondre aux
attentes de notre pays."