par Bxl Boy » 16 juin 2004 22:35
Quatre jours après ses débuts victorieux contre l'Angleterre (2-1), l'équipe de France de football a déjà la possibilité de se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro-2004 en battant la Croatie, jeudi à Leiria (120 km au nord de Lisbonne).
Toutes les statistiques sont en sa faveur. En effet, en trois confrontations, la France n'a jamais été battue par les Croates et, en compétition, elle reste sur la demi-finale du Mondial-1998 marquée par le doublé historique de Lilian Thuram (2-1) au Stade de France.
Pourtant, dans un Euro très fermé, le premier problème des Français sera de trouver l'ouverture le plus vite possible pour ne pas rester sous la menace d'un contre.
Dans la mesure où les matchs s'enchaînent rapidement, un tous les quatre jours, la récupération est néanmoins le principal facteur à prendre en compte.
Ainsi, si Thierry Henry et Patrick Vieira devraient avoir récupéré des nombreux coups pris contre l'Angleterre, le milieu de terrain Claude Makelele, légèrement blessé, sera sans doute laissé au repos au profit d'Olivier Dacourt, légèrement plus offensif.
En fait, la seule petite inconnue concerne un éventuel, mais peu probable, retour du capitaine de route Marcel Desailly à la place de Mikaël Silvestre.
Chez les Croates, après la pâle prestation contre la Suisse (0-0), l'ambiance est moins sereine. <i>«Nous n'avons pas su exploiter notre avantage numérique contre les Suisses et maintenant il nous faut jouer les deux gros du groupe. Il faudra laisser venir, jouer derrière et essayer d'exploiter le moindre contre»</i>, analyse Robert Prosinecki, l'ancien joueur du Real Madrid, aujourd'hui consultant pour les médias croates.
Pour sa part, Miroslav Blazevic, l'entraîneur de la Croatie en 1998, est beaucoup plus sévère dans son jugement vis-à-vis de son successeur Otto Baric qu'il a accusé publiquement de ne pas savoir faire jouer l'équipe.
Il faut dire que cette nouvelle génération - seuls Tudor et Simic étaient présents en 98 - qui s'est invitée à l'Euro par le biais d'un barrage contre la Slovénie (1-1, 1-0) ne possède pas les mêmes individualités que sa devancière.
Quatre jours après ses débuts victorieux contre l'Angleterre (2-1), l'équipe de France de football a déjà la possibilité de se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro-2004 en battant la Croatie, jeudi à Leiria (120 km au nord de Lisbonne).
Toutes les statistiques sont en sa faveur. En effet, en trois confrontations, la France n'a jamais été battue par les Croates et, en compétition, elle reste sur la demi-finale du Mondial-1998 marquée par le doublé historique de Lilian Thuram (2-1) au Stade de France.
Pourtant, dans un Euro très fermé, le premier problème des Français sera de trouver l'ouverture le plus vite possible pour ne pas rester sous la menace d'un contre.
Dans la mesure où les matchs s'enchaînent rapidement, un tous les quatre jours, la récupération est néanmoins le principal facteur à prendre en compte.
Ainsi, si Thierry Henry et Patrick Vieira devraient avoir récupéré des nombreux coups pris contre l'Angleterre, le milieu de terrain Claude Makelele, légèrement blessé, sera sans doute laissé au repos au profit d'Olivier Dacourt, légèrement plus offensif.
En fait, la seule petite inconnue concerne un éventuel, mais peu probable, retour du capitaine de route Marcel Desailly à la place de Mikaël Silvestre.
Chez les Croates, après la pâle prestation contre la Suisse (0-0), l'ambiance est moins sereine. <i>«Nous n'avons pas su exploiter notre avantage numérique contre les Suisses et maintenant il nous faut jouer les deux gros du groupe. Il faudra laisser venir, jouer derrière et essayer d'exploiter le moindre contre»</i>, analyse Robert Prosinecki, l'ancien joueur du Real Madrid, aujourd'hui consultant pour les médias croates.
Pour sa part, Miroslav Blazevic, l'entraîneur de la Croatie en 1998, est beaucoup plus sévère dans son jugement vis-à-vis de son successeur Otto Baric qu'il a accusé publiquement de ne pas savoir faire jouer l'équipe.
Il faut dire que cette nouvelle génération - seuls Tudor et Simic étaient présents en 98 - qui s'est invitée à l'Euro par le biais d'un barrage contre la Slovénie (1-1, 1-0) ne possède pas les mêmes individualités que sa devancière.