par Y » 16 juin 2004 21:11
L’arbitre sanctionne le gardien russe d’un carton rouge synonyme d’expulsion parce qu’il l’a vu toucher le ballon de la main ou du bras en dehors de son rectangle. Le règlement est clair et l’arbitre l’a appliqué à la règle. Bravo! Il n’y a qu’un seul hic : comment cet arbitre peut-il avoir vu le gardien toucher le ballon de la main ou du bras puisqu’il n’y a pas touché, comme le démontre les différentes reprises de tous les angles? Il ne peut donc pas justifier sa décision ainsi, il doit donc se résigner à dire qu’il croyait que le gardien avait commis la faute. Dans l’incertitude, tu t’abstiens, crétin. Quel idiot!!! Vraiment dommage pour les Russes, qui, sans être flamboyants, réalisaient un tournoi honnête. L’histoire ne dira jamais si sans cette énorme erreur de jugement inacceptable si l’équipe russe s’en serait sortie sans la défaite, et donc avoir la chance de batailler pour une place au second tour lors de leur troisième match contre la Grèce. Par contre, cette idiotie du Norvégien n’a pas aidé du tout, c’est certain. Totalement regrettable et impardonnable. Comme l’équipe qu’il a aidé à retourner à la maison, cet arbitre doit être retourné à la maison le plus tôt possible. Quelques jours de réflexion sur ce qu’est le jugement lui sera en effet fort utile.
The golden generation or the golden mistake…? Minable, misérable, etc.
Ceci dit, on n’y peut rien, mais dimanche sera le dernier jour de compétition, soit pour les Portugais, soit pour les Espagnols, apparemment deux favoris pour une quelconque raison illicite. Le scénario qui permettrait aux deux formations ibériques de poursuivre la compétition est tordu et, bien que pas impossible, plutôt improbable.
Il faudrait, d’une part, que le Portugal gagne contre l’Espagne, et que les Russes battent la Grèce et, d’autre part, que le différentiel des buts pour but contre soit à l’avantage de l’Espagne (mais voir le reste). Les Espagnols (2 buts pour, 1 but contre) et les Grecs (3 buts pour, 2 contre) sont actuellement à +1. Si les deux équipes devaient perdre sur la même marge (mais pas nécessairement sur le même score), ils seraient donc à égalité au niveau des points et du différentiel de buts pour buts contre. Dans ce cas, on s’en remettrait au nombre de buts marqués. La Grèce a donc un léger avantage à ce niveau. Si les deux équipes sont battues sur le même score, la Grèce passe et les Espagnols sont éliminés. Si, par exemple, la Grèce perd 1-0 et l’Espagne, 3-4, ce sont les Grecs qui seront éliminés au nombre de buts marqués. Si, dans leur défait respective, les Espagnols marque un but de plus que les Grecs, il y aura égalité parfaite. Prochain critère pour départager : les coefficients de points, qui est à l’avantage de l’Espagne.
Tout scénario autre que des défaites espagnol et grec ce dimanche permettrait assurément aux Grecs de se qualifier pour les quarts de finale.
Le nul permettrait à l’Espagne de passer, la défaite dépendrait du résultat entre Grecs et Russes, alors que la défaite est l’élimination. Pour le Portugal, il n’y a qu’un seul scénario favorable : la victoire, sinon on pacte les petits et on s’en va en dehors du pays… le plus loin possible.
La grande bataille ibérique
Où : Lisbonne, Portugal
Quand : dimanche le 20 juin 2004, beau temps, mauvais temps
Heure : 14H45
Dénouement : imprévisible, mais léger avantage à l’Espagne
Émotion : assurée
Et merci de nous offrir un scénario aussi beau…
L’arbitre sanctionne le gardien russe d’un carton rouge synonyme d’expulsion parce qu’il l’a vu toucher le ballon de la main ou du bras en dehors de son rectangle. Le règlement est clair et l’arbitre l’a appliqué à la règle. Bravo! Il n’y a qu’un seul hic : comment cet arbitre peut-il avoir vu le gardien toucher le ballon de la main ou du bras puisqu’il n’y a pas touché, comme le démontre les différentes reprises de tous les angles? Il ne peut donc pas justifier sa décision ainsi, il doit donc se résigner à dire qu’il croyait que le gardien avait commis la faute. Dans l’incertitude, tu t’abstiens, crétin. Quel idiot!!! Vraiment dommage pour les Russes, qui, sans être flamboyants, réalisaient un tournoi honnête. L’histoire ne dira jamais si sans cette énorme erreur de jugement inacceptable si l’équipe russe s’en serait sortie sans la défaite, et donc avoir la chance de batailler pour une place au second tour lors de leur troisième match contre la Grèce. Par contre, cette idiotie du Norvégien n’a pas aidé du tout, c’est certain. Totalement regrettable et impardonnable. Comme l’équipe qu’il a aidé à retourner à la maison, cet arbitre doit être retourné à la maison le plus tôt possible. Quelques jours de réflexion sur ce qu’est le jugement lui sera en effet fort utile.
The golden generation or the golden mistake…? Minable, misérable, etc.
Ceci dit, on n’y peut rien, mais dimanche sera le dernier jour de compétition, soit pour les Portugais, soit pour les Espagnols, apparemment deux favoris pour une quelconque raison illicite. Le scénario qui permettrait aux deux formations ibériques de poursuivre la compétition est tordu et, bien que pas impossible, plutôt improbable.
Il faudrait, d’une part, que le Portugal gagne contre l’Espagne, et que les Russes battent la Grèce et, d’autre part, que le différentiel des buts pour but contre soit à l’avantage de l’Espagne (mais voir le reste). Les Espagnols (2 buts pour, 1 but contre) et les Grecs (3 buts pour, 2 contre) sont actuellement à +1. Si les deux équipes devaient perdre sur la même marge (mais pas nécessairement sur le même score), ils seraient donc à égalité au niveau des points et du différentiel de buts pour buts contre. Dans ce cas, on s’en remettrait au nombre de buts marqués. La Grèce a donc un léger avantage à ce niveau. Si les deux équipes sont battues sur le même score, la Grèce passe et les Espagnols sont éliminés. Si, par exemple, la Grèce perd 1-0 et l’Espagne, 3-4, ce sont les Grecs qui seront éliminés au nombre de buts marqués. Si, dans leur défait respective, les Espagnols marque un but de plus que les Grecs, il y aura égalité parfaite. Prochain critère pour départager : les coefficients de points, qui est à l’avantage de l’Espagne.
Tout scénario autre que des défaites espagnol et grec ce dimanche permettrait assurément aux Grecs de se qualifier pour les quarts de finale.
Le nul permettrait à l’Espagne de passer, la défaite dépendrait du résultat entre Grecs et Russes, alors que la défaite est l’élimination. Pour le Portugal, il n’y a qu’un seul scénario favorable : la victoire, sinon on pacte les petits et on s’en va en dehors du pays… le plus loin possible.
La grande bataille ibérique
Où : Lisbonne, Portugal
Quand : dimanche le 20 juin 2004, beau temps, mauvais temps
Heure : 14H45
Dénouement : imprévisible, mais léger avantage à l’Espagne
Émotion : assurée
Et merci de nous offrir un scénario aussi beau…