par Bxl Boy » 19 juin 2004 0:12
Elle est, selon les observateurs, la bonne surprise de ce 1er tour. Quoi qu'il en soit, la Grèce est proche du miracle. Les joueurs d'Otto Rehhagel peuvent se contenter d'un partage face à une équipe russe d'ores et déjà éliminée pour atteindre les quarts de finale. Une première historique pour la formation hellénique: jamais elle n'était parvenue à passer un tour lors d'une phase finale d'une grande compétition. Et pour cause: jamais, en deux participations (au championnat d'Europe des Nations 1980 et à la Coupe du Monde 1994), elle n'était arrivée à engranger un succès.
Pour le pays hôte des Jeux Olympiques au mois d'août, l'essentiel n'est plus de participer. S'il est vrai que la Grèce a déjà réussi son Euro en accrochant les favoris du groupe A - une victoire contre Portugal puis un excellent partage face à l'Espagne - les attentes sont désormais énormes tant au sein de la sélection que chez les millions de Grecs restés au pays et scotchés à leurs écrans de télévision. L'appétit venant en mangeant, une élimination à ce stade de la compétition serait sans doute accueillie comme un demi- échec et la déception serait énorme.
Car, même si la Russie a montré de belles dispositions malgré ses deux défaites fatales, les joueurs de Georgi Yartsev sont pour le moins démobilisés. Seul leur honneur est encore en jeu mais la déception, là aussi, sera sans doute difficile à surmonter.
«Après deux défaites, on veut gagner pour nous et pour nos supporters», annonce-t-on dans le clan russe. «Si jamais on obtenait un bon résultat, le sentiment de déception actuel se dissiperait peut-être.»
La bonne organisation allemande d'Otto Rehhagel, une humilité de bon aloi associée à une volonté de jouer franchement sa chance sans être impressionné par les géants ibériques et des attaquants, peu productifs en qualifications, qui se réveillent au meilleur moment: voilà les ingrédients qui ont permis à l'ex- petit Poucet du groupe A de réaliser une excellente entrée en matière aussi surprenante que justifiée. Petit revers de la médaille: pour ce dernier match du premier tour, l'essentiel sera de ne pas craquer sous la pression, qui s'est désormais installée. Contrairement à ses deux premiers rendez-vous, la Grèce part favorite face aux Russes, apparemment bien décidés à vendre chèrement leur peau. Cependant, il n'y a pas vraiment lieu de s'inquiéter: même menés lors du match face à l'Espagne, les Grecs ont prouvé qu'ils savaient aussi jouer au ballon!
Elle est, selon les observateurs, la bonne surprise de ce 1er tour. Quoi qu'il en soit, la Grèce est proche du miracle. Les joueurs d'Otto Rehhagel peuvent se contenter d'un partage face à une équipe russe d'ores et déjà éliminée pour atteindre les quarts de finale. Une première historique pour la formation hellénique: jamais elle n'était parvenue à passer un tour lors d'une phase finale d'une grande compétition. Et pour cause: jamais, en deux participations (au championnat d'Europe des Nations 1980 et à la Coupe du Monde 1994), elle n'était arrivée à engranger un succès.
Pour le pays hôte des Jeux Olympiques au mois d'août, l'essentiel n'est plus de participer. S'il est vrai que la Grèce a déjà réussi son Euro en accrochant les favoris du groupe A - une victoire contre Portugal puis un excellent partage face à l'Espagne - les attentes sont désormais énormes tant au sein de la sélection que chez les millions de Grecs restés au pays et scotchés à leurs écrans de télévision. L'appétit venant en mangeant, une élimination à ce stade de la compétition serait sans doute accueillie comme un demi- échec et la déception serait énorme.
Car, même si la Russie a montré de belles dispositions malgré ses deux défaites fatales, les joueurs de Georgi Yartsev sont pour le moins démobilisés. Seul leur honneur est encore en jeu mais la déception, là aussi, sera sans doute difficile à surmonter.
«Après deux défaites, on veut gagner pour nous et pour nos supporters», annonce-t-on dans le clan russe. «Si jamais on obtenait un bon résultat, le sentiment de déception actuel se dissiperait peut-être.»
La bonne organisation allemande d'Otto Rehhagel, une humilité de bon aloi associée à une volonté de jouer franchement sa chance sans être impressionné par les géants ibériques et des attaquants, peu productifs en qualifications, qui se réveillent au meilleur moment: voilà les ingrédients qui ont permis à l'ex- petit Poucet du groupe A de réaliser une excellente entrée en matière aussi surprenante que justifiée. Petit revers de la médaille: pour ce dernier match du premier tour, l'essentiel sera de ne pas craquer sous la pression, qui s'est désormais installée. Contrairement à ses deux premiers rendez-vous, la Grèce part favorite face aux Russes, apparemment bien décidés à vendre chèrement leur peau. Cependant, il n'y a pas vraiment lieu de s'inquiéter: même menés lors du match face à l'Espagne, les Grecs ont prouvé qu'ils savaient aussi jouer au ballon!