Arrivé de l'équipe de CFA de Lille en début de saison, le Canadien Michaël Klukowski (21 ans) est en train de vivre une 1re saison de rêve au sein de l'élite. Titularisé dans l'équipe d'Ariel Jacobs lors de l'entrée en matière des <I>Loups </I>contre Bruges en août 2002, celui-ci n'a plus quitté le <I>onze de base </I>et compte bien y rester jusqu'au 1er juin, date de la finale de la Coupe contre Saint-Trond.<br>
<I> «C'est vrai que je peux être satisfait</I>, explique l'intéressé. <I>Il faut néanmoins un peu de chance pour réussir une bonne saison. Si j'avais loupé ma période de préparation, le coach aurait pu m'installer sur le banc. Là, c'est le contraire qui s'est passé et j'ai su saisir ma chance.»</I><br>
À un tel point que celui-ci a connu les joies d'une première sélection en équipe nationale.<br>
<I> «Après avoir loupé le dernier match amical du Canada contre l'Estonie à cause d'une petite blessure, je vais encore rater le suivant contre l'Allemagne</I>, ajoute notre interlocuteur. <I>En effet, celui-ci se déroule le premier juin. Comme je pensais que notre demi-finale contre Lommel n'allait pas se jouer, j'avais déjà prévenu mon entraîneur national qu'il ne devait pas compter sur moi. J'avais bien fait.»</I><br>
Et mercredi soir lors de la victoire de la Raal contre Lommel, Michaël Klukowski a connu un des meilleurs moments de sa jeune carrière.<br>
<I> «Quand nous sommes retournés aux vestiaires et que le score était toujours de zéro à zéro, je n'ai pas eu peur</I>, narre l'arrière gauche du Tivoli qui fera venir toute sa famille du Canada pour assister à la finale du premier juin. <I>Je me suis juste dit qu'il fallait absolument marquer très vite à notre retour sur la pelouse. Ce que nous sommes parvenus à réaliser grâce à Thierry Siquet. Sans ce but, la suite du match aurait pu devenir très difficile. La pression était clairement sur nos épaules et aucun supporter n'aurait accepté une élimination face à cette jeune équipe de Lommel. La logique fut finalement respectée et nous pouvons maintenant nous concentrer sur la finale.»</I><br>
Et il ne fait aucun doute qu'Ariel Jacobs fera tourner son effectif lors des six derniers matches de championnat pour bien préparer ses hommes à l'apothéose de leur saison.<br>
<I> «Même si nous avons perdu deux fois </I>(NdlR: 1-2 et 2-1) <I>contre Saint-Trond en championnat, je suis optimiste</I>, conclut le Canadien. <I>Nous possédons les armes pour battre cette équipe.»</I><br>
Cela, les Hennuyers devront le prouver sur la pelouse du Heysel le premier juin.
Cet article et d'autres nouvelles de La Louvière (dont une menace de disparition poussée par l'infâme Vermeerschescu) à
http://www.dhnet.be/dhsports/article.phtml?id=68448
Arrivé de l'équipe de CFA de Lille en début de saison, le Canadien Michaël Klukowski (21 ans) est en train de vivre une 1re saison de rêve au sein de l'élite. Titularisé dans l'équipe d'Ariel Jacobs lors de l'entrée en matière des <I>Loups </I>contre Bruges en août 2002, celui-ci n'a plus quitté le <I>onze de base </I>et compte bien y rester jusqu'au 1er juin, date de la finale de la Coupe contre Saint-Trond.<br>
<I> «C'est vrai que je peux être satisfait</I>, explique l'intéressé. <I>Il faut néanmoins un peu de chance pour réussir une bonne saison. Si j'avais loupé ma période de préparation, le coach aurait pu m'installer sur le banc. Là, c'est le contraire qui s'est passé et j'ai su saisir ma chance.»</I><br>
À un tel point que celui-ci a connu les joies d'une première sélection en équipe nationale.<br>
<I> «Après avoir loupé le dernier match amical du Canada contre l'Estonie à cause d'une petite blessure, je vais encore rater le suivant contre l'Allemagne</I>, ajoute notre interlocuteur. <I>En effet, celui-ci se déroule le premier juin. Comme je pensais que notre demi-finale contre Lommel n'allait pas se jouer, j'avais déjà prévenu mon entraîneur national qu'il ne devait pas compter sur moi. J'avais bien fait.»</I><br>
Et mercredi soir lors de la victoire de la Raal contre Lommel, Michaël Klukowski a connu un des meilleurs moments de sa jeune carrière.<br>
<I> «Quand nous sommes retournés aux vestiaires et que le score était toujours de zéro à zéro, je n'ai pas eu peur</I>, narre l'arrière gauche du Tivoli qui fera venir toute sa famille du Canada pour assister à la finale du premier juin. <I>Je me suis juste dit qu'il fallait absolument marquer très vite à notre retour sur la pelouse. Ce que nous sommes parvenus à réaliser grâce à Thierry Siquet. Sans ce but, la suite du match aurait pu devenir très difficile. La pression était clairement sur nos épaules et aucun supporter n'aurait accepté une élimination face à cette jeune équipe de Lommel. La logique fut finalement respectée et nous pouvons maintenant nous concentrer sur la finale.»</I><br>
Et il ne fait aucun doute qu'Ariel Jacobs fera tourner son effectif lors des six derniers matches de championnat pour bien préparer ses hommes à l'apothéose de leur saison.<br>
<I> «Même si nous avons perdu deux fois </I>(NdlR: 1-2 et 2-1) <I>contre Saint-Trond en championnat, je suis optimiste</I>, conclut le Canadien. <I>Nous possédons les armes pour battre cette équipe.»</I><br>
Cela, les Hennuyers devront le prouver sur la pelouse du Heysel le premier juin.
Cet article et d'autres nouvelles de La Louvière (dont une menace de disparition poussée par l'infâme Vermeerschescu) à http://www.dhnet.be/dhsports/article.phtml?id=68448