Mercredi 20 décembre 2006 - LONDRES (AP) - L'enquête sur la corruption dans le football anglais a pris une nouvelle ampleur mercredi. La Premier League demande en effet que 17 transferts supplémentaires soient passés au crible.
L'ancien patron de la police de Londres John Stevens et son agence Quest examineront les 17 transferts, qui faisaient partie des 362 premiers dossiers, car huit agents de joueurs ont refusé de coopérer.
"Nous ne donnons pas de noms parce que l'enquête est en cours", a déclaré Stevens. "Ce n'est pas une chasse aux sorcières."
La Premier League va demander à la Fédération anglaise de monter une enquête commune car elle ne peut pas forcer les agents à révéler des informations. La FIFA devrait également être associée à l'enquête.
"Les gens seront nommés seulement quand il y aura des preuves conduisant à une mise en accsusation", a déclaré le responsable exécutif de la Premier League, Richard Scudamore. "On se concentre désormais sur un certain nombre d'agents et d'autres parties, pas sur les clubs et les responsables de clubs."
Stevens a présenté mercredi les conclusions de son enquête de 10 mois commandée par la Premier League, qui a couté 750 000 livres. Stevens a par ailleurs fait 39 propositions pour réguler les transferts.
L'enquête a débuté après les révélations de la BBC au mois de septembre affirmant que le manager de Bolton Sam Allardyce et certains de ses homologues avaient bénéficié de paiements illégaux dans le cadre de transferts.
Dans l'émission, on pouvait voir Craig Allardyce, un agent de joueurs fils d'Allardyce, reconnaître que son père était au courant de l'existence de commissions illégales lors des transferts à Bolton.
http://www.rds.ca/soccer/chroniques/219672.html
Mercredi 20 décembre 2006 - LONDRES (AP) - L'enquête sur la corruption dans le football anglais a pris une nouvelle ampleur mercredi. La Premier League demande en effet que 17 transferts supplémentaires soient passés au crible.
L'ancien patron de la police de Londres John Stevens et son agence Quest examineront les 17 transferts, qui faisaient partie des 362 premiers dossiers, car huit agents de joueurs ont refusé de coopérer.
"Nous ne donnons pas de noms parce que l'enquête est en cours", a déclaré Stevens. "Ce n'est pas une chasse aux sorcières."
La Premier League va demander à la Fédération anglaise de monter une enquête commune car elle ne peut pas forcer les agents à révéler des informations. La FIFA devrait également être associée à l'enquête.
"Les gens seront nommés seulement quand il y aura des preuves conduisant à une mise en accsusation", a déclaré le responsable exécutif de la Premier League, Richard Scudamore. "On se concentre désormais sur un certain nombre d'agents et d'autres parties, pas sur les clubs et les responsables de clubs."
Stevens a présenté mercredi les conclusions de son enquête de 10 mois commandée par la Premier League, qui a couté 750 000 livres. Stevens a par ailleurs fait 39 propositions pour réguler les transferts.
L'enquête a débuté après les révélations de la BBC au mois de septembre affirmant que le manager de Bolton Sam Allardyce et certains de ses homologues avaient bénéficié de paiements illégaux dans le cadre de transferts.
Dans l'émission, on pouvait voir Craig Allardyce, un agent de joueurs fils d'Allardyce, reconnaître que son père était au courant de l'existence de commissions illégales lors des transferts à Bolton.
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