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L'ACS ne peut continuer de cette manière, avec les clubs et joueurs amateurs qui dirigent le bateau.
Bye bye Simoes
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- Vicenç
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Monté de lait!
Malheureusement tout indiquait que l'on était encore en présence d'un autre fiasco. Simoes, je m'en fous un peu, s'était surement le plus crédible des candidats, mais surement pas un sauveur, ce qui m'emerde c'est l'idée de l'avoir mis de côté parce qu'il n'était pas Canadien... vraiment stupide
Depuis quelques temps je fais la comparaison entre cette situation et celle de l'Orchestre Symphonique de Montréal, bon d'accord c'est tres tiré par les cheveux mais bon... L'OSM était dans la merde, le public diminuait de plus en plus, le déficit augmentait, pas de chef d'orchestre, pas de contrat de disque, grêve des musiciens. Que faire? Engager un chef 100% pure laine starlette du violon à St-ClinClin-du-meuh ou bien essayer de trouver un chef de renommé international. Ils ont été chanceux et on déniché Kent Nagagno, américain d'origine Niponne ayant déja été en France. L'impact est immédiat, les concerts sont pleins, les musiciens heureux de jouer pour un chef compétent, la qualité générale est revenue, on fait une première tournée au Canada (autre succès) et on se prépare à resigner un contrat de disque avec une compagnie internationale sérieuse. On voulait du sérieux et on a fait en sorte d'en avoir, on a investit dans ce but précis et cela a réussit. Les spectateurs, les musiciens et les commandiataires l'on compris.
Et c'est cette approche qu'il faut prendre avec n'importe quel projet, ici le sujet c'est le foot au Canada, dont l'emblème devrait être l'équipe nationale sénior masculine, comme cela est partout ailleur, parce que c'est là qu'est l'intérêt, c'est là que l'on montre ce que l'on peut faire, c'est là qu'est l'argent aussi.
Nommer un sélectionneur et un directeur technique d'envergure aurait pu créer cette engouement en montrant que l'on prennait ce projet avec sérieux. Par ce geste, l'image de l'équipe aurait pu commencer à changer tranquillement aux yeux des (potentiels) joueurs, du (potentiels) public et de (potentiels) commanditaires. Alors qu'ailleurs on mise sur la réussite ici on abandonne. Alors qu'ailleurs on fait des matchs amicales a fin de générer des revenus, ici on évite d'en jouer parce que cela coute cher... Mais de toute façon qui voudrait jouer contre une telle équipe? Qui pourrait prendre au sérieux une telle organisation? Qui paierait pour voir un tel spectacle? Personne...
Pas d'investissement, pas de prise de risque, aucun résultat. Et c'est le cul-de-sac.
Ciao!

Depuis quelques temps je fais la comparaison entre cette situation et celle de l'Orchestre Symphonique de Montréal, bon d'accord c'est tres tiré par les cheveux mais bon... L'OSM était dans la merde, le public diminuait de plus en plus, le déficit augmentait, pas de chef d'orchestre, pas de contrat de disque, grêve des musiciens. Que faire? Engager un chef 100% pure laine starlette du violon à St-ClinClin-du-meuh ou bien essayer de trouver un chef de renommé international. Ils ont été chanceux et on déniché Kent Nagagno, américain d'origine Niponne ayant déja été en France. L'impact est immédiat, les concerts sont pleins, les musiciens heureux de jouer pour un chef compétent, la qualité générale est revenue, on fait une première tournée au Canada (autre succès) et on se prépare à resigner un contrat de disque avec une compagnie internationale sérieuse. On voulait du sérieux et on a fait en sorte d'en avoir, on a investit dans ce but précis et cela a réussit. Les spectateurs, les musiciens et les commandiataires l'on compris.
Et c'est cette approche qu'il faut prendre avec n'importe quel projet, ici le sujet c'est le foot au Canada, dont l'emblème devrait être l'équipe nationale sénior masculine, comme cela est partout ailleur, parce que c'est là qu'est l'intérêt, c'est là que l'on montre ce que l'on peut faire, c'est là qu'est l'argent aussi.
Nommer un sélectionneur et un directeur technique d'envergure aurait pu créer cette engouement en montrant que l'on prennait ce projet avec sérieux. Par ce geste, l'image de l'équipe aurait pu commencer à changer tranquillement aux yeux des (potentiels) joueurs, du (potentiels) public et de (potentiels) commanditaires. Alors qu'ailleurs on mise sur la réussite ici on abandonne. Alors qu'ailleurs on fait des matchs amicales a fin de générer des revenus, ici on évite d'en jouer parce que cela coute cher... Mais de toute façon qui voudrait jouer contre une telle équipe? Qui pourrait prendre au sérieux une telle organisation? Qui paierait pour voir un tel spectacle? Personne...
Pas d'investissement, pas de prise de risque, aucun résultat. Et c'est le cul-de-sac.
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