Le grand chef Gabriel est malheureusement ébranlé ces jours-ci. Au contraire, notre grand chef Schwartz a, une fois de plus, démontré qu’il n’a rien perdu de sa ténacité. Son dernier éditorial (Québec soccer) résumé sommairement le nouveau livre Histoire du soccer québécois, dont il est coauteur avec Jacques Gagnon. Il a profité de ces lignes pour souligner la difficulté du soccer à faire sa place au Québec et être accepté et respecté, comme il se doit. Georges élabore sur quelques-unes de ses nombreuses batailles afin de défendre et expliquer le foot. En fait, il le fait depuis de nombreuses années. Souvent cinglant contre autrui, il trouve toujours la plus infime ouverture pour asséner le punch final – synonyme de KO. Il a donc plus souvent qu’autrement le dernier mot, ses dires étant étoffées souvent de preuves indiscutables. Si la ‘guerre médiatique’ est loin d’être gagnée, bien que les choses avancent et progressent lentement mais sûrement dans la bonne direction, le doyen des amoureux du ballon rond dans notre province doit être vachement fier de sa popularité ‘populaire’. Très difficile d’évaluer le crédit qui lui revient, mais le principal intéressé s’en fout éperdument, enfin j’imagine, et préférera parler des faits. Sports numéro 1 (en participation) au Québec et au Canada. De nombreux matches internationaux à la TV (Sportsnet: EPL, FA cup, Espana primera liga, équipes canadiennes dont les côtes d’écoute figurent en tête des évènements les plus regardés à cette station; TSN: C1, Euro, Coupe du monde; TLN: Serie A, quelques matches de l’Italie, Copa america; TV5: D1, CAN; FSWC: la liste est longue, A-league, MLS, USA indoor, Argentine, Brésil, Angleterre, France, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, etc). Il n’y a que votre RDS qui tarde, qui tarde et qui tarde encore (mieux vaut tard que jamais)… Malgré un engouement médiatique très mitigé, l’Impact a fait tourner bien des têtes l’an passé avec des assistances record. Bref, Georges est loin d’être l’unique responsable de tout ça, mais les temps ont bien changé et il ne faut pas oublier qu’il a été –et est toujours– de toutes les batailles (plus souvent qu’autrement, envers et contre tous). Alors simplement et sincèrement BRAVO et MERCI, Georges (avec un ‘s’…).
Info supplémentaire: Histoire du soccer québécois fait 208 pages avec plus de 300 photos. Il est en vente chez Renaud-Bray et Archambault. La plus belle des photos est sans doute celle de la couverture: Jean Harbor et Pat Harrington, deux des plus grands joueurs d’impact de l’Impact, entourent Gazzola qui tient le trophée du championnat de 1994 dans l’une des voitures de collection du proprio sur Ste-Catherine. Je me souviens comme si c’était hier des propos de Banfi au carré Philips: la planète a eu le Brésil en 1994, et Montréal a eu l’Impact (enfin quelque chose comme ça). J’espère l’entendre dire ceci à l'automne: l’Europe a eu les Pays-Bas en 2004, et Montréal a eu l’Impact...
Hommage au grand chef
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- Club préféré : IMPACT
- Mon “autre” club favori : AJA, Ajax
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SOS (Save Our Soccer) - Impact de Montréal, et rien d'autre.
Si un imposteur rentre chez moi et s'en prend à ma famille, je vais intervenir ; Joey, c'est le temps, là, de ''kicker'' les poubelles...
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