OreoTheBoyWonder a écrit :Et, du à son manque d'expérience, il a paniqué à sa première erreur plutôt que d'avoir la confiance qu'il était capable d'enligner les bonnes performances. Les jeunes, comme l'entraîneur, ont été placés sur un siège éjectable. Quand tout le monde a peur pour ses fesses, difficile d'avoir un jeu collectif qui a de l'allure. Et du côté de l'entraîneur, difficile d'avoir une stratégie à long terme, tu essaies de colmater des brèches et de sauver ta peau.
En gros, l'Impact doit avoir un peu plus de clairvoyance et s'il change d'entraîneur lui donner un contrat de deux ans avec comme mandat non pas de gagner à tout prix tout de suite, mais de faire grandir le club. Avec une vision sur le développement du club et de sa structure (son système, son effectif, l'intégration des jeunes, etc) on a 1) plus de chances d'avoir une saison égale 2) on aura un meilleur développement à long terme. Bref, faut s'enlever les oeillères de la victoire à tout prix et être réalistes. On est un club de deuxième année à ce niveau. Évidemment, tu joues pour gagner chaque match, mais si t'as pas de vision à long terme, bah, tu te ramasses avec un effectif à bout de souffle, des jeunes sans confiance et du jeu désorganisé (parce que tu penses pas à t'Organiser, tu cherches sans cesse une solution à court terme).
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Fort de ces informations, un esprit cynique pourrait prétendre que le nouvel entraîneur de l'Impact ne sera guère dépaysé en débarquant à Montréal. Il se retrouve de nouveau avec une organisation impatiente, comme le départ de Jesse Marsch l'a démontré l'automne dernier.
Le Zurichois de 50 ans l'a sûrement compris en signant son contrat, d'une durée d'une seule saison. L'entente sera reconduite pour une année supplémentaire, mais uniquement s'il mène l'équipe aux séries éliminatoires. On appelle ça de la pression.
Bref, même si Joey Saputo et Nick De Santis ont multiplié les compliments à son endroit en conférence de presse hier, ils ne lui ont pas cédé les clés de l'organisation. En 2013, Schällibaum sera en audition. Mais cela ne l'inquiète pas. Doté d'une robuste carrure, familier des jeux de coulisses du soccer suisse, il ne semble pas facile à impressionner.
Jetant un coup d'oeil à Joey Saputo sur la tribune, Schällibaum a défini avec humour, mais justesse, les liens entre un propriétaire d'équipe et son entraîneur: «Quand on gagne, on va boire un verre; quand on perd, je rentre à la maison tout seul. C'est comme ça...»
http://www.lapresse.ca/debats/chronique ... libaum.php
Une conférence de presse de malheur. Cette journée la, on à aussi crée des divisions, en affichant leur préférence pour des joueurs européens. Une équipe uni aurait compris l'importance du match, et offert une effort en conséquence.
"I don't know why everyone is getting their underwear in a knot," read his first tweet.
That was followed by three more that said: "I never said I didn't want American players. I said that being in a city with a European influence, our fans want to see players other than Americans.
"I also did say that because we are limited in the amount of foreigners, we have to work within a system that integrates the two."
http://www.timescolonist.com/sports/soc ... an-1.43652