Cela peut être vrai, Mpenza, que certains ont failli à la tâche... Mais dans une équipe bien encadrée et bien entrainée, les passages à vide de ces joueurs sont gommés grâce à un jeu d'équipe bien rôdé... Lorsqu'une équipe est complètement dépassée, c'est parce que l'ÉQUIPE n'existe pas!Mpenza a écrit :On entend souvent que certains joueurs clé ont manqué le bateau.
Revue de presse 2007
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Non, l'équipe existe... On a pu le constater quelques fois cette saison. Le problème, c'est le manque de communication, le manque d'esprit, ou bien le manque de coach. En tout cas, quelque chose nous fait défaut. Mais on est pas loin du succès... Il ne reste qu'à mettre le doigt sur le bobo et le tour est joué!
La rabbia di vincere
Pour moi, une équipe, c'est lorsque l'on constate une chimie TOUT le temps et non pas seulement quelques fois...*ilovedilorenzo* a écrit :Non, l'équipe existe... On a pu le constater quelques fois cette saison. Le problème, c'est le manque de communication, le manque d'esprit, ou bien le manque de coach. En tout cas, quelque chose nous fait défaut. Mais on est pas loin du succès... Il ne reste qu'à mettre le doigt sur le bobo et le tour est joué!
Le doigt sur le bobo: Modèle de jeu primaire, organisation tactique déficiente, automatismes en mode manuel...
L'Impact gagne sur des individualités.
Et j'ajoute que, malheureusement, tous les joueurs d'une équipe n'ont pas le charisme d'un Di Lorenzo!
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L'ambition de Weber
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http://www.canoe.com/sports/nouvelles/a ... 00101.html
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Intéressant...Le temps presse, d'autant plus que la MLS prévoit annoncer, avant la fin de 2007, l'identité de la ville qui accueillera sa seizième concession, celle qui entreprendra ses activités en 2010 alors que l'entente d'exclusivité du FC Toronto en sol canadien prendra fin.
Et avec cette rumeur qui fait part d'une éventuelle entrée en MLS en 2008 pour les Sounders, ça pourrait bousculer les plans un peu et faire tout avancer d'un an. Peut-être que le TFC n'a plus "besoin" de son exclusivité jusqu'en 2010, car peut-être qu'il se rend compte que ce serait profitable (pour les clubs, le foot au Canada ET la ligue) d'avoir une rivalité avec Montréal le plus tôt possible...
Et si c'était Montréal qui était en tête de liste et non Saint-Louis et Philadelphie? Après tout, on a tout ce dont on a besoin : un proprio sérieux avec de l'argent, une concession fiable qui a fait ses preuves (comme Seattle), un marché intéressant avec possibilité de rivalité dans l'est de la MLS, un public et, par-dessus le marché, un stade de foot qui se joue avec les pieds.
Par contre, on ne peut pas exclure l'idée de rentrer Montréal et Vancouver d'un coup en 2010, parce que ça ferait entrer deux concessions sans déséquilibrer les divisions est et ouest. Si Vancouver pouvait commencer à construire son foutu stade...
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À dossier égaux, Philadelphie et Saint-Louis ont l'avantage sur Montréal par le simple fait qu'ils sont américains (plus de visibilités pour les commanditaires nationaux, cotes d'écoutes comptabilisés, dossier de stade plus impressionnant, etc.).
On entend depuis des mois des rumeurs sur l'expansion jusqu'à 16 équipes et les villes candidates. Du côté officiel de l'Impact, on n'entend que des vagues "si la MLS nous appelle, on discutera bien".
Le plus de temps qu'on prendra pour soumettre une candidature crédible pour 2010, le moins de chance qu'on l'aura. On semble déjà partir avec un retard considérable par rapport aux autres groupes.
Cela dit, de la manière secrète dont l'Impact opère, il se pourrait qu'on soit bien placés, sans que ça ait été ébruité.
On entend depuis des mois des rumeurs sur l'expansion jusqu'à 16 équipes et les villes candidates. Du côté officiel de l'Impact, on n'entend que des vagues "si la MLS nous appelle, on discutera bien".
Le plus de temps qu'on prendra pour soumettre une candidature crédible pour 2010, le moins de chance qu'on l'aura. On semble déjà partir avec un retard considérable par rapport aux autres groupes.
Cela dit, de la manière secrète dont l'Impact opère, il se pourrait qu'on soit bien placés, sans que ça ait été ébruité.
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Peut-être... mais y a pas de dossiers égaux.Daniel a écrit :À dossier égaux, Philadelphie et Saint-Louis ont l'avantage sur Montréal par le simple fait qu'ils sont américains (plus de visibilités pour les commanditaires nationaux, cotes d'écoutes comptabilisés, dossier de stade plus impressionnant, etc.).
À Montréal, il y a déjà une équipe qui attire les foules, il y a un stade de foot qui sera terminé dans deux mois, il y a un proprio sérieux qui est là depuis 1993 (hormis le niaisage du début des années 2000).
À Saint-Louis et à Philadelphie, il n'y a rien.
Donc, avantage Montréal, la tête et les épaules au-dessus du lot.
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C'est l'évidence même, en ce qui me concerne.xdukex a écrit :Reste plus qu'à bien piquer et la mettre au fond du filet.Donc, avantage Montréal, la tête et les épaules au-dessus du lot.
Ça fait 2 ans que je répète qu'on construit pas un stade pour rester en USL...
Maintenant faut voir où est le ballon : est-ce qu'il arrive vers notre tête, est-ce qu'on l'a sur le front ou est-ce qu'on vient de l'envoyer vers le but?
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M'as dire comme Daniel, ils sont tellement silencieux que peut-être qu'ils ont quetchose d'assez sérieux sur la table avec la MLS pis ils en parlent pas (ils n'ont pas à tout dire avant la décision finale de toute façon).
Est-ce que Gillett a rapport là-dedans? Il a esquivé des questions l'autre jour, j'vois pas pourquoi il esquiverait des questions à propos de futurs entrainements de Liverpool. Viens, viens pas j'm'en crisse (tant mieux s'ils viennent...).
Garber serait fous d'avantager Philadelphie et St-Louis par rapport à Mtl, leurs rivaux (Red Bulls et Wizards) sont fuck all tous les 2. Shit, TFC-MTL et Seattle -Vancouver seraient 100 fois mieux.
Est-ce que Gillett a rapport là-dedans? Il a esquivé des questions l'autre jour, j'vois pas pourquoi il esquiverait des questions à propos de futurs entrainements de Liverpool. Viens, viens pas j'm'en crisse (tant mieux s'ils viennent...).
Garber serait fous d'avantager Philadelphie et St-Louis par rapport à Mtl, leurs rivaux (Red Bulls et Wizards) sont fuck all tous les 2. Shit, TFC-MTL et Seattle -Vancouver seraient 100 fois mieux.
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Clair que c'est la loi du silence à Saint-Léonard. C'est pourquoi je m'en tiens aux faits. Et dans les faits, Philly et Saint-Louis ont (peut-être) des croquis de stade, alors qu'ici, on a déjà posé le gazon.FCIM a écrit :M'as dire comme Daniel, ils sont tellement silencieux que peut-être qu'ils ont quetchose d'assez sérieux sur la table avec la MLS pis ils en parlent pas (ils n'ont pas à tout dire avant la décision finale de toute façon).
Est-ce que Gillett a rapport là-dedans?
En ce qui a trait à l'oncle Gillett, il a sûrement quelque chose à voir dans l'histoire, parce qu'il a en effet esquivé les questions de façon plutôt étrange... C'est marrant, y a clairement une histoire là-dedans, mais personne dans la presse ne semble vouloir y aller. Je ne le vois pas comme un acteur important, mais peut-être qu'il sait des choses importantes et que Liverpool a quelque chose à voir là-dedans (peut-être entente de collaboration, comme Kuyt le disait dans un autre topic).
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On y va point par point?Mpenza a écrit :Peut-être... mais y a pas de dossiers égaux.
À Montréal, il y a déjà une équipe qui attire les foules, il y a un stade de foot qui sera terminé dans deux mois, il y a un proprio sérieux qui est là depuis 1993 (hormis le niaisage du début des années 2000).
À Saint-Louis et à Philadelphie, il n'y a rien.
Donc, avantage Montréal, la tête et les épaules au-dessus du lot.

- Hormis pour 1996, la MLS n'a pas historiquement avantagé les villes avec des antécédents de grosses foules. Le "pattern" a été: "Y'a un proprio qui veut payer? On y va!"
- Le Stade Saputo, pour tout ce qu'il est, est un stade qui a coûté $15m, avec tout ce que ça comprend (loges, structure, capacité, complexe environnant, etc.). Qu'un stade soit prêt en 2008 ou en 2010 pour une équipe qui ne commencera qu'en 2010, ça n'a pas d'importance. Les villes de Saint-Louis et Philadelphie ont des assurances de construction pour des complexes beaucoup plus important que le SS.
- Le proprio est le gros avantage de Montréal, mais si un homme d'affaires sérieux se lève dans les autres villes (ce qui risque d'arriver), l'expérience passée ne comptera pas pour beaucoup. On n'a qu'à voir San Jose, RSL ou encore TFC pour preuve.
Dans tout ce qui est marketing, étendue nationale (américaine, "la seule qui importe", même avec la LNH...), etc., les autres villes tiennent l'avantage.
C'est donc à Saputo et Gillett de monter un dossier difficile, voire impossible, à refuser du côté de la MLS.
Il serait beaucoup plus difficile (et cher) d'acheter une équipe existante, surtout si elle a des assises locales (un stade). Kansas City reste une rare candidate possible.
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Bah si on veut étudier le comportement "historique" de la MLS, elle n'a jamais donné guère plus qu'un an de préavis à ses nouvelles concessions. Seattle est annoncé en 2007 pour une entrée en 2009, la "16e équipe" sera annoncée en 2007 pour une entrée en 2010.
(pour ceux qui n'auraient pas compris, cela illustre le fait que la MLS peut changer ses habitudes)
Cela dit, si je reprends tes points, tu as raison, mais...
1- La MLS n'a jamais favorisé les villes avec des antécédents de grosses foules. Ok, mais c'est parce qu'il n'y a à part Montréal à peu près aucune ville avec des antécédents de grosses foules récurrentes en Amérique du Nord (hors MLS et hors Mexique, bien entendu).
2. Le stade Saputo est un stade de 15 millions et les autres ont des projets nettement plus imposants. Ok. Mais l'Impact a un stade, les autres ont des projets. On sait ce que ça peut donner, les projets (voir les romans savons de Vancouver et de Toronto; et à Seattle, ils ont Qwa?
).
3. L'expérience passée du proprio ne compte pas pour beaucoup. Ok. Mais encore là, c'est parce que très peu de proprios potentiels intéressés à la MLS ont de l'expérience en foot. Par contre, quand on en tient un, c'est un peu difficile de le passer à la trappe pour favoriser un type qui n'y connait strictement rien et part de zéro, mais qui a en main un dessin de stade plus coloré.
Faut pas oublier que si la MLS avait attendu que des villes de foot avec des proprios qui baignent dans le foot apparaissent pour former une ligue, elle n'aurait jamais existé. Maintenant on est rendu là : intégrer de véritables marchés de foot, et pas juste des grandes villes avec un nombre x d'habitants, en se disant qu'elles doivent bien compter assez de fans de foot pour remplir la moitié d'un stade. À ce que je sache, Seattle est le premier club existant à intégrer la MLS. On ne parle plus d'un investisseur qui s'achète un joujou là. On parle d'un club avec une tradition et des supporters qui fait le saut pour évoluer au plus haut niveau possible.
Les assises sont solides à Montréal, bien plus que dans n'importe quelle ville américaine qui figure dans la listes de magasinage de la MLS. On peut le retourner sous tous les angles, comme je le disais plus haut, mais on a TOUT pour la MLS...
(pour ceux qui n'auraient pas compris, cela illustre le fait que la MLS peut changer ses habitudes)
Cela dit, si je reprends tes points, tu as raison, mais...
1- La MLS n'a jamais favorisé les villes avec des antécédents de grosses foules. Ok, mais c'est parce qu'il n'y a à part Montréal à peu près aucune ville avec des antécédents de grosses foules récurrentes en Amérique du Nord (hors MLS et hors Mexique, bien entendu).
2. Le stade Saputo est un stade de 15 millions et les autres ont des projets nettement plus imposants. Ok. Mais l'Impact a un stade, les autres ont des projets. On sait ce que ça peut donner, les projets (voir les romans savons de Vancouver et de Toronto; et à Seattle, ils ont Qwa?

3. L'expérience passée du proprio ne compte pas pour beaucoup. Ok. Mais encore là, c'est parce que très peu de proprios potentiels intéressés à la MLS ont de l'expérience en foot. Par contre, quand on en tient un, c'est un peu difficile de le passer à la trappe pour favoriser un type qui n'y connait strictement rien et part de zéro, mais qui a en main un dessin de stade plus coloré.
Faut pas oublier que si la MLS avait attendu que des villes de foot avec des proprios qui baignent dans le foot apparaissent pour former une ligue, elle n'aurait jamais existé. Maintenant on est rendu là : intégrer de véritables marchés de foot, et pas juste des grandes villes avec un nombre x d'habitants, en se disant qu'elles doivent bien compter assez de fans de foot pour remplir la moitié d'un stade. À ce que je sache, Seattle est le premier club existant à intégrer la MLS. On ne parle plus d'un investisseur qui s'achète un joujou là. On parle d'un club avec une tradition et des supporters qui fait le saut pour évoluer au plus haut niveau possible.
Les assises sont solides à Montréal, bien plus que dans n'importe quelle ville américaine qui figure dans la listes de magasinage de la MLS. On peut le retourner sous tous les angles, comme je le disais plus haut, mais on a TOUT pour la MLS...
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Si on jette un coup d'oeil à la saga des Predators et Hamilton (LNH), on peut voir l'importance d'équipes américaines pour une ligue. Montréal et Saint-Louis/Philadelphie n'ont aucunement le même glamour dans la mentalité sportive américaine.Mpenza a écrit :Les assises sont solides à Montréal, bien plus que dans n'importe quelle ville américaine qui figure dans la listes de magasinage de la MLS. On peut le retourner sous tous les angles, comme je le disais plus haut, mais on a TOUT pour la MLS...
Ça ne comptera pas pour rien, peu importe ce qu'on veut se faire croire. Il faudra proposer un dossier nettement plus intéressant non seulement à court terme, mais aussi à moyen et long terme.
Je VEUX que l'Impact se joigne à la MLS, mais je ne crois sincèrement pas que ce sera le cas si on n'arrive pas à impressioner l'état-major de la ligue. Et, vraisemblablement, on part avec un retard considérable (Montréal n'a jamais été mentionné par le commissaire dans les villes candidates, sauf quand on le lui a demandé spécifiquement). Espérons pour nous qu'il ne soit pas trop tard.
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Je ne sais pas pourquoi tout le monde capote sur le fait qu'on ne soit pas mentionnés par le "commissaire" (quel nom débile) de la MLS. Toronto ne l'était pas bien plus, et Seattle non plus.
Ce qui manque à l'Impact, d'après moi, c'est l'appui logistique d'une machine promotionnelle à la MLSE. Enter Gillett et son Gillett Entertainment Group... ou une équipe de marketing solide et éprouvée.
Ce qui manque à l'Impact, d'après moi, c'est l'appui logistique d'une machine promotionnelle à la MLSE. Enter Gillett et son Gillett Entertainment Group... ou une équipe de marketing solide et éprouvée.
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De Santis toujours coach...
On veut avoir une bonne communication avec les joueurs qui jouent et ceux qui ne jouent pas. Quand tu as 25 joueurs à gérer, ça devient difficile. Certains joueurs sentent qu'il y a moins de communication avec eux. Il y a du travail à faire là-dessus. »
Nick De Santis a confirmé deux choses par cette simple déclaration à Radio-Canada Sports, mercredi.
D'abord, il reviendra à la barre de l'Impact de Montréal la saison prochaine. Ensuite, le bouillant entraîneur veut justement être... un peu moins bouillant. Après des mois à crier après tout ce qui bouge, De Santis a un nouveau mantra: la bonne communication.
Sans cette vertu, il y a presque laissé sa peau la saison dernière. Le onze montréalais a clos sa saison tête baissée et plusieurs joueurs ont critiqué l'entraîneur tant publiquement que dans l'ombre.
De Santis a souffert. Il a appris. Communication, communication, communication... On ne l'y reprendra plus.
« Les joueurs veulent savoir comment sont leurs performances, pourquoi ils ne jouent pas, pourquoi ils ne jouent pas assez. À Montréal, il y a 25 joueurs de qualité et tout le monde s'attend à jouer. On doit mieux expliquer aux joueurs leur rôle. Comme ça, ils comprennent où ils en sont avec l'Impact. »
Le retour de De Santis
D'ailleurs, la communication a été à la base du retour de De Santis. Durant ses vacances, il a longuement discuté avec sa femme à propos de son avenir à Montréal. C'est pourquoi il a attendu un long mois après la fin de la saison avant d'annoncer sa décision.
« Ma femme et moi avons une vie professionnelle très remplie. Ça complique la vie personnelle. Je voulais être sûr d'avoir tout son appui. Je consacre beaucoup de temps à l'équipe et nous avons profité des vacances pour discuter de ces choses-là. C'était plus facile de communiquer sans courir partout. »
Antonio Ribeiro Impact
Antonio Ribeiro a plusieurs fois critiqué son entraîneur.
Ah! Tiens! Encore « communiquer »... De Santis est-il un homme transformé? Une chose demeure: il veut gagner.
« Ce qui me motive aussi à revenir, c'est de montrer année après année qu'on lutte pour la première place. Dans cette situation-là, tu vises le championnat. Ça reste ma grande source de motivation. »
Le plan
Vous vous rappelez le mot du jour? Eh bien, il revient de la « phase 1 » de la préparation en vue de la prochaine saison. De Santis a déjà parlé à tous les joueurs de l'équipe, sauf deux ou trois, dans un échange d'égal à égal.
« Je veux leur opinion. J'ai parlé de certains aspects de leur jeu, et eux me parlent de leur préparation et de leur vision de l'équipe. Avec mon équipe d'entraîneurs, si on peut mieux gérer le côté émotif et psychologique des joueurs, on pourra recevoir plus d'eux en retour. »
La « phase 2 »: bâtir le club autour du noyau de vétérans. Leonardo Di Lorenzo et Joey Gjertsen sont les joueurs autonomes que De Santis se promet de ramener à Montréal. « Nous voulons les ramener pour bâtir la base. » Pour les phases 3 et 4, on verra. Ça se bouscule.
Le seul acquis reste donc le retour de l'entraîneur. Pour la « nouvelle mentalité » de l'équipe, seul l'avenir nous le dira...
Nick De Santis a confirmé deux choses par cette simple déclaration à Radio-Canada Sports, mercredi.
D'abord, il reviendra à la barre de l'Impact de Montréal la saison prochaine. Ensuite, le bouillant entraîneur veut justement être... un peu moins bouillant. Après des mois à crier après tout ce qui bouge, De Santis a un nouveau mantra: la bonne communication.
Sans cette vertu, il y a presque laissé sa peau la saison dernière. Le onze montréalais a clos sa saison tête baissée et plusieurs joueurs ont critiqué l'entraîneur tant publiquement que dans l'ombre.
De Santis a souffert. Il a appris. Communication, communication, communication... On ne l'y reprendra plus.
« Les joueurs veulent savoir comment sont leurs performances, pourquoi ils ne jouent pas, pourquoi ils ne jouent pas assez. À Montréal, il y a 25 joueurs de qualité et tout le monde s'attend à jouer. On doit mieux expliquer aux joueurs leur rôle. Comme ça, ils comprennent où ils en sont avec l'Impact. »
Le retour de De Santis
D'ailleurs, la communication a été à la base du retour de De Santis. Durant ses vacances, il a longuement discuté avec sa femme à propos de son avenir à Montréal. C'est pourquoi il a attendu un long mois après la fin de la saison avant d'annoncer sa décision.
« Ma femme et moi avons une vie professionnelle très remplie. Ça complique la vie personnelle. Je voulais être sûr d'avoir tout son appui. Je consacre beaucoup de temps à l'équipe et nous avons profité des vacances pour discuter de ces choses-là. C'était plus facile de communiquer sans courir partout. »
Antonio Ribeiro Impact
Antonio Ribeiro a plusieurs fois critiqué son entraîneur.
Ah! Tiens! Encore « communiquer »... De Santis est-il un homme transformé? Une chose demeure: il veut gagner.
« Ce qui me motive aussi à revenir, c'est de montrer année après année qu'on lutte pour la première place. Dans cette situation-là, tu vises le championnat. Ça reste ma grande source de motivation. »
Le plan
Vous vous rappelez le mot du jour? Eh bien, il revient de la « phase 1 » de la préparation en vue de la prochaine saison. De Santis a déjà parlé à tous les joueurs de l'équipe, sauf deux ou trois, dans un échange d'égal à égal.
« Je veux leur opinion. J'ai parlé de certains aspects de leur jeu, et eux me parlent de leur préparation et de leur vision de l'équipe. Avec mon équipe d'entraîneurs, si on peut mieux gérer le côté émotif et psychologique des joueurs, on pourra recevoir plus d'eux en retour. »
La « phase 2 »: bâtir le club autour du noyau de vétérans. Leonardo Di Lorenzo et Joey Gjertsen sont les joueurs autonomes que De Santis se promet de ramener à Montréal. « Nous voulons les ramener pour bâtir la base. » Pour les phases 3 et 4, on verra. Ça se bouscule.
Le seul acquis reste donc le retour de l'entraîneur. Pour la « nouvelle mentalité » de l'équipe, seul l'avenir nous le dira...
Gaetan C.
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Étrange pour un organisme habituellement axé sur son image.Daniel a écrit :Comme quoi si on fait partie du "clan", on n'a pas de comptes à rendre sur ses performances.
Faut faire atttention à ceci et à cela, c'est une question d'image. L'image, l'image, l'image.
Mais se faire enfoncer 3-0 à Puerto-Rico, c'est pas grave.
Jouer comme des putains de fientes depuis la mi-2006, c'est pas grave non plus. Tant qu'il y a du monde dans les tribunes (du monde, n'importe qui, pas des imbéciles qui font aller des drapeaux, parce que ça, c'est pas bon pour l'image non plus) et qu'on le voit à la télé, tout baigne.
L'Impact, c'est une business; le sport, c'est secondaire. C'est ça qui arrive quand 90% des spectateurs qui remplissent ton stade se foutent éperdument du résultat sur le terrain...
Tout est au beau fixe, les amis, nous lutterons pour la première place encore une fois cette année. Semble-t-il que c'est satisfaisant pour l'état-major de notre club bien-aimé.