L'Impact en route vers la MLS?
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L'Impact en route vers la MLS?
Le vendredi 20 juillet 2007
L'Impact en route vers la MLS?
Jean-François Bégin
La Presse
En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer.
La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction.
«Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi.
L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier.
«Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre.
Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.»
La tentation de la MLS
À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie.
«Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo.
Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès.
La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.»
La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.»
Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010.
Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places.
Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux.
Impact international
Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains.
Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade.
La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
L'Impact en route vers la MLS?
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En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer.
La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction.
«Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi.
L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier.
«Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre.
Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.»
La tentation de la MLS
À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie.
«Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo.
Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès.
La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.»
La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.»
Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010.
Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places.
Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux.
Impact international
Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains.
Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade.
La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
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FAUX!Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur
On joue bien au baseball en avril et jusqu'à la fin octobre, un sport dans lequel on ne court même pas...
Sortez-vous une fois pour toute cette idée farfelue que le foot est un sport d'été, ciboire!
Je peux comprendre que dans notre univers douillet d'arénas chauffées on hésite à se geler le cul en novembre dans un stade ouvert pour aller voir un match, mais de là à aller affirmer catégoriquement des âneries pareilles, y a une limite. Surtout quand on est publié dans un journal lu par autant de gens.
C'est déjà comme Quenneville qui s'attend à ce qu'on arrête le match quand il pleut...
Carton rouge.
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En fait , le problème en avril ou en novembre serait la qualité de la pelouse.
Si c'est pour évoluer sur des surfaces pelés à cause des premiers froids ou gorgées d'eau à cause des pluies de printemps et de la fonte des dernières neiges...
A Sion ( stade à 500m), ils s'obstinent à jouer jusqu'à mi-décembre sur une chose pelée par les premiers gels sérieux et c'est pas brillant comme affaire lol... Sans parler de la reprise à la mi-février , pas mal de blessures en découlent...
Si c'est pour évoluer sur des surfaces pelés à cause des premiers froids ou gorgées d'eau à cause des pluies de printemps et de la fonte des dernières neiges...

A Sion ( stade à 500m), ils s'obstinent à jouer jusqu'à mi-décembre sur une chose pelée par les premiers gels sérieux et c'est pas brillant comme affaire lol... Sans parler de la reprise à la mi-février , pas mal de blessures en découlent...
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En avril cette année et l'an dernier, c'était très jouable.
En novembre, c'est jouable aussi.
Évidemment, on parle pas du 1er avril ni du 30 novembre, on s'entend... Du 15 avril au 15 novembre, c'est faisable.
Évidemment, ça prend des systèmes (drainage, etc.) pour s'occuper du gazon et pas le laisser à lui-même tout l'hiver....
En novembre, c'est jouable aussi.
Évidemment, on parle pas du 1er avril ni du 30 novembre, on s'entend... Du 15 avril au 15 novembre, c'est faisable.
Évidemment, ça prend des systèmes (drainage, etc.) pour s'occuper du gazon et pas le laisser à lui-même tout l'hiver....
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Oui du 15 avril au 15 novembre ça peut être jouable et on peut aussi tabler sur le réchauffement climatique .Mpenza a écrit :En avril cette année et l'an dernier, c'était très jouable.
En novembre, c'est jouable aussi.
Évidemment, on parle pas du 1er avril ni du 30 novembre, on s'entend... Du 15 avril au 15 novembre, c'est faisable.
Évidemment, ça prend des systèmes (drainage, etc.) pour s'occuper du gazon et pas le laisser à lui-même tout l'hiver....

Mais tout ça demande de l'investissement pour le drainage ...etc comme tu dis. Sans parler du côté assez imprévisible du climat nord-américain .
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Connaissant le climat québécois ( bon à Qc c'est pire qu'à Mtl je sais
) , il faudrait un excellent système pour remettre la pelouse à "niveau" en avril, donc ça pourrait se révéler assez coûteux pour la Saputo family and co.
Mais si MTL " monte" en MLS , Montréal ne jouera-t-il pas au Stade Olympique?? Donc plus de problème de pelouse .

Mais si MTL " monte" en MLS , Montréal ne jouera-t-il pas au Stade Olympique?? Donc plus de problème de pelouse .
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J'en avais oublié le nouveau stade.Mpenza a écrit :Ah ben ouais, on va construire un stade tout neuf de 15 millions pour aller jouer au stade olympique dans 3-4 ans.Sandra a écrit :Mais si MTL " monte" en MLS , Montréal ne jouera-t-il pas au Stade Olympique?? Donc plus de problème de pelouse .
Le terrain au CCR en avril était très praticable.

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Y a absolument rien qui dit qu'on ne pourra jamais agrandir au-delà des 18 000 places annoncées.
S'il ont été capables de constuire le nouveau Estadio da Luz à Lisbonne qui empiétait sur l'ancien, sans fermer ce dernier, on devrait être capables d'ajouter un balcon sur une de nos tribunes... surtout avec nos huit mois de saison morte par année.
Et si jamais on a besoin de 50 000 sièges pour un match, ben on n'aura pas à aller très loin.

S'il ont été capables de constuire le nouveau Estadio da Luz à Lisbonne qui empiétait sur l'ancien, sans fermer ce dernier, on devrait être capables d'ajouter un balcon sur une de nos tribunes... surtout avec nos huit mois de saison morte par année.
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Pas fou ça .Mpenza a écrit :Y a absolument rien qui dit qu'on ne pourra jamais agrandir au-delà des 18 000 places annoncées.![]()
S'il ont été capables de constuire le nouveau Estadio da Luz à Lisbonne qui empiétait sur l'ancien, sans fermer ce dernier, on devrait être capables d'ajouter un balcon sur une de nos tribunes... surtout avec nos huit mois de saison morte par année.
Et si jamais on a besoin de 50 000 sièges pour un match, ben on n'aura pas à aller très loin.
Je fais un petit parallèle avec l'équipe de rugby de Paris ( championne de France en titre , ouais une bretelle vient de péter même si je n'en porte jamais

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C'est ce qui pourrait bien se produire ici. De plus, on peut jouer à l'année au stade olympique...Sandra a écrit :Pas fou ça .Mpenza a écrit :Y a absolument rien qui dit qu'on ne pourra jamais agrandir au-delà des 18 000 places annoncées.![]()
S'il ont été capables de constuire le nouveau Estadio da Luz à Lisbonne qui empiétait sur l'ancien, sans fermer ce dernier, on devrait être capables d'ajouter un balcon sur une de nos tribunes... surtout avec nos huit mois de saison morte par année.
Et si jamais on a besoin de 50 000 sièges pour un match, ben on n'aura pas à aller très loin.
Je fais un petit parallèle avec l'équipe de rugby de Paris ( championne de France en titre , ouais une bretelle vient de péter même si je n'en porte jamais) et donc leur nouveau stade de 18 000 places ( en face du Parc) sera prêt en 2010 et ils viendront comme ils le font depuis quelques années jouer leurs grands chocs de championnat au Stade de France et leurs gros matches de coupe d'Europe au Parc.
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13 000, c'est pour l'Impact de 2008 en USL. C'est bien assez grand.François a écrit :justement, le nouveau stade....est-ce qu'on a penser trop petit avec 13,000 sièges. Je veux bien croire qu'on peut agrandir jusqu'à 18,000 mais lorsque l'Impact MLS recevra en amical Liverpool et bien on devra jouer au stade Olympique...
Si l'Impact fait le saut en MLS, ce ne sera pas fait du jour au lendemain; le stade aura eu le temps de recevoir une augmentation de capacité à 18 000 (et même si ça se prolonge en saison, le stade et 13 500 sièges seront utilisables.
18 000, c'est un bon point de départ quand on voit les moyennes en MLS. Le but c'est de remplir le stade. On ne parlerait aussi sûrement plus de passes de saisons U18 à 20$ et de 5 000 billets donnés. Il s'agira d'une (de plusieurs) saisons avec 15-20 matches (incluant matches amicaux) avec des billets plus cher que ce que l'on a vu au soccer ici depuis des décennies. Il ne faut pas s'attendre à avoir 40 000 personnes au Stade (si il était disponible) semaine après semaine. Ce n'est pas la Coupe du Monde.
Pour ce qui est de la pelouse et de jouer en avril et en novembre: avec quelques matches à l'étranger pour débuter la saison, on arrive facilement à la fin avril. Si on a bien fait ses ventes de billets de saison, on ne devrait pas avoir à se préocupper d'une petite foule et la pelouse devrait être jouable si elle est bien couverte et protégée. Même chose pour l'automne. On ne parle pas d'un terrain ouvert à tous, mais plutôt d'un où se joueraient 1-2 matches par semaine au maximum.
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On a vu ce qu'un peu de pluie faisait à la foule, en plus de voir comment des nuages leur font peur (Minnesota, 6 000 personnes).Mpenza a écrit :Oui, mais ça, c'est un concept qui échappe à bien des gens ici. "C'est un sport d'été, le soccère", m'a-t-on déjà dit à un match préparatoire de l'Impact alors que la température oscillait autour de 3 degrés avec le vent.Sandra a écrit :On peut aussi jouer sous la neige lol.
C'est une question de rentabilité: combien de gens d'ici iraient voir un match dans une tempête de neige? Moins que 1 000?
En Scandinavie (et ailleurs), c'est attendu. Comme on sait en Angleterre qu'il fera froid et mouillé pendant l'hiver. Comme à Vancouver on joue dans la pluie et sur des terrains de gravier (!!!) quand il pleut trop.
Au Québec, oui, on peut rallonger la saison, mais de là à jouer dans une tempête de neige, il y a un bond à faire.
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Qui parle de jouer dans une tempête de neige?
Pour info, un terrain gelé mène à l'annulation du match. C'est clair qu'on jouera pas ici au mois de janvier, mais jouer en novembre, ça se fait facilement. Et s'il se met à neiger, c'est pas grave...
Et puis de toute manière, c'est quand la dernière fois qu'il a neigé en novembre? Chaque année on se demande si on va avoir un noël blanc. On pourrait même jouer jusqu'à la mi-décembre des fois, selon le temps qu'il fait. Tout ça pour dire que jouer jusqu'à la mi-novembre, c'est pas utopique, c'est à portée de main.
Pour la foule, ben... on ne s'est jamais empêché de remplir le stade en juin à coups de 4500 billets donnés, donc qu'il y ait juste 1000 spectateurs payants en novembre, est-ce vraiment un problème? Et puis si c'est un problème, suffit de mettre un toit sur les tribunes...
Pour info, un terrain gelé mène à l'annulation du match. C'est clair qu'on jouera pas ici au mois de janvier, mais jouer en novembre, ça se fait facilement. Et s'il se met à neiger, c'est pas grave...
Et puis de toute manière, c'est quand la dernière fois qu'il a neigé en novembre? Chaque année on se demande si on va avoir un noël blanc. On pourrait même jouer jusqu'à la mi-décembre des fois, selon le temps qu'il fait. Tout ça pour dire que jouer jusqu'à la mi-novembre, c'est pas utopique, c'est à portée de main.
Pour la foule, ben... on ne s'est jamais empêché de remplir le stade en juin à coups de 4500 billets donnés, donc qu'il y ait juste 1000 spectateurs payants en novembre, est-ce vraiment un problème? Et puis si c'est un problème, suffit de mettre un toit sur les tribunes...
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Je ne sais pas trop, mais les arbitres présents étaient des arbitres FIFA qui ont tous arbitrés des matchs MLS ou CONCACAF cette année, donc j'imagine que c'était légal....Mpenza a écrit :Ouais... pas fort.Anonymous a écrit :Le Championnat canadien universitaire 2006 s'est déroulé sur des terrains gelé à une température moyenne de - 15 Celsius.Mpenza a écrit :
Pour info, un terrain gelé mène à l'annulation du match.
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Légal... ouais, dans la mesure où la décision revient à l'arbitre. S'il a décidé que c'était pas dangereux pour les joueurs, c'est son droit, et si l'arbitre dit qu'on joue, on joue. Par contre, un arbitre, aussi FIFA soit-il, qui arbitre en MLS ou en CONCACAF, ça doit pas voir des terrains gelés très souvent, et en plus, on sait ce qu'ils valent pour la plupart... 
