Les équipes probables :
République tchèque: 1 Cech - 2 Grygera, 22 Rozehnal, 21 Ujfalusi, 6 Jankulovski - 8 Poborsky, 10 Rosicky, 4 Galasek, 11 Nedved (cap) - 9 Koller, 15 Baros.
Lettonie: 1 Kolinko - 16 Zirnis, 2 Stepanovs, 4 Zemlinskis, 7 Isakovs - 8 Bleidelis, 3 Astafjevs (cap), 5 Laizans, 10 Rubins - 17 Pahars, 9 Verpakovskis.
Tchéquie - Lettonie
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La République tchèque, qui figure parmi les favoris de l'Euro-2004 de football, dans le sillage de son Ballon d'or Pavel Nedved, n'a pas le droit à l'erreur mardi face à l'équipe la plus faible du difficile groupe D, la Lettonie, présente pour la première fois en phase finale.
Autant dire que les Tchèques, que des qualifications sans défaite (7 victoires, 1 nul) ont propulsés au rang de favoris, partent un peu dans l'inconnu. Seuls les noms du défenseur central Igors Stepanovs (ex-Arsenal, aujourd'hui à Beveren en Belgique) et de l'attaquant Maris Verpakovskis, héros des barrages contre la Turquie (1-0, 2-2), sortent un peu du lot côté letton.
Les Tchèques, eux, ont appris à se faire connaître en Europe, tels Nedved (Juventus), Karel Poborsky (Sparta Prague), Jan Koller (Dortmund), Tomas Rosicky (Dortmund), Milan Baros (Liverpool) et le futur gardien de Chelsea Petr Cech. Ces deux derniers, champions d'Europe Espoirs en 2002, rêvent de faire aussi bien cette année chez les <i>«A»</i>.
Gare à la glissage, prévient cependant Rosicky, qui sait que les points éventuellement perdus lors de ce premier match seront très difficiles à rattraper lors des suivants contre les Pays-Bas (samedi) et l'Allemagne (23 juin).
<i>«Ils vont jouer très regroupés en défense, craint aussi le Monégasque Jaroslav Plasil. Il va falloir les faire craquer.»</i>
Histoire de bien se roder, les Tchèques ont disputé leur dernier match de préparation, le 6 juin, contre l'Estonie (2-0).
Mais c'est mardi (18h00), à Aveiro, sous le soleil portugais, qu'il va falloir être au rendez-vous pour faire fondre les espoirs lettons.
Autant dire que les Tchèques, que des qualifications sans défaite (7 victoires, 1 nul) ont propulsés au rang de favoris, partent un peu dans l'inconnu. Seuls les noms du défenseur central Igors Stepanovs (ex-Arsenal, aujourd'hui à Beveren en Belgique) et de l'attaquant Maris Verpakovskis, héros des barrages contre la Turquie (1-0, 2-2), sortent un peu du lot côté letton.
Les Tchèques, eux, ont appris à se faire connaître en Europe, tels Nedved (Juventus), Karel Poborsky (Sparta Prague), Jan Koller (Dortmund), Tomas Rosicky (Dortmund), Milan Baros (Liverpool) et le futur gardien de Chelsea Petr Cech. Ces deux derniers, champions d'Europe Espoirs en 2002, rêvent de faire aussi bien cette année chez les <i>«A»</i>.
Gare à la glissage, prévient cependant Rosicky, qui sait que les points éventuellement perdus lors de ce premier match seront très difficiles à rattraper lors des suivants contre les Pays-Bas (samedi) et l'Allemagne (23 juin).
<i>«Ils vont jouer très regroupés en défense, craint aussi le Monégasque Jaroslav Plasil. Il va falloir les faire craquer.»</i>
Histoire de bien se roder, les Tchèques ont disputé leur dernier match de préparation, le 6 juin, contre l'Estonie (2-0).
Mais c'est mardi (18h00), à Aveiro, sous le soleil portugais, qu'il va falloir être au rendez-vous pour faire fondre les espoirs lettons.
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http://euro.dhnet.be/match.phtml?id=54& ... cle_id=110
Hmmm, mon ex boss adore le hockey, alors le titre de l'article, surtout en Belgique, me fait rire
Si quelqu'un ici avait fait ça, j'aurais été fâché
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La République tchèque peut exciper de belles lettres de noblesse. Elle a franchi à six reprises le barrage des qualifications et, dans quatre éditions déjà, elle a achevé l'épreuve parmi les trois meilleures nations.
La nouvelle phalange perpétue la tradition. Il y a longtemps que la Tchèquie du ballon rond s'est démarquée des caractéristiques bien austères des formations de l'ancien bloc de l'Est.
Cette saison encore, elle a pratiqué un football allègre, enjoué, offensif, attractif et varié qui lui a permis, entre autres hauts faits, de contraindre les... Néerlandais à disputer un barrage. Les noms de ses vedettes brillent au firmament: Nedved, le dernier Ballon d'Or, coeur et poumon de la formation, Rosicky, le diamant impatient d'oublier une très décevante campagne en Bundesliga, Koller, son équipier de Dortmund, buteur patenté, Ceh, futur gardien de Chelsea qui encadrent les expérimentés Smicer, Poborski ou Galasek. «Si Nedved est le coeur de l'équipe, Rosicky en est le cerveau. Mais la vraie star de la Tchèquie est l'équipe, martèle sans cesse Karel Brückner. Tout simplement parce que les vedettes ne se fondent pas simplement dans le collectif: elles le servent avec une abnégation totale pour le hisser vers le haut.»
Les joueurs savent que le coach ne transigera jamais sur ces valeurs.
«Il n'existe aucun conflit de personnalité entre Nedved et moi, confirme Rosicky. Nous ne sommes peut-être pas complémentaires au sens premier du terme et nous ne sommes sûrement pas des calques. Mais notre association fonctionne bien parce que chacun de nous y trouve son compte: Pavel peut entreprendre tout ce qu'il veut sur le plan offensif. Il recèle pour cela le dynamisme et la clairvoyance. Moi, je me positionne un peu en retrait de lui pour tenter d'apporter ma créativité personnelle à notre construction. En équipe nationale, le coach insiste beaucoup pour que nous ne nous souciions pas exclusivement du jeu offensif. Il entend que nous défendions également avec générosité. Il appelle cela une défense constructive. Elle contribue à étoffer notre bagage en rendant notre jeu sans ballon plus avisé encore.»
Karel Brückner insiste beaucoup aussi sur l'état d'esprit qui doit prévaloir avant chaque rencontre: «Je veux qu'on aborde chaque match - et particulièrement celui de ce soir, contre la Lettonie -avec les qualités morales qui ont été les nôtres tout au long du tournoi qualificatif: on doit se lancer à la conquête de la victoire avec respect et humilité. On ne doit jamais sous-estimer son adversaire mais jamais non plus le surévaluer. Cette appréhension raisonnée est la meilleure manière que j'ai trouvée de doper la confiance individuelle de chacun de mes joueurs.»
Illustration, dès 18h, contre les surprenants Lettons...
Source : dhnet
La nouvelle phalange perpétue la tradition. Il y a longtemps que la Tchèquie du ballon rond s'est démarquée des caractéristiques bien austères des formations de l'ancien bloc de l'Est.
Cette saison encore, elle a pratiqué un football allègre, enjoué, offensif, attractif et varié qui lui a permis, entre autres hauts faits, de contraindre les... Néerlandais à disputer un barrage. Les noms de ses vedettes brillent au firmament: Nedved, le dernier Ballon d'Or, coeur et poumon de la formation, Rosicky, le diamant impatient d'oublier une très décevante campagne en Bundesliga, Koller, son équipier de Dortmund, buteur patenté, Ceh, futur gardien de Chelsea qui encadrent les expérimentés Smicer, Poborski ou Galasek. «Si Nedved est le coeur de l'équipe, Rosicky en est le cerveau. Mais la vraie star de la Tchèquie est l'équipe, martèle sans cesse Karel Brückner. Tout simplement parce que les vedettes ne se fondent pas simplement dans le collectif: elles le servent avec une abnégation totale pour le hisser vers le haut.»
Les joueurs savent que le coach ne transigera jamais sur ces valeurs.
«Il n'existe aucun conflit de personnalité entre Nedved et moi, confirme Rosicky. Nous ne sommes peut-être pas complémentaires au sens premier du terme et nous ne sommes sûrement pas des calques. Mais notre association fonctionne bien parce que chacun de nous y trouve son compte: Pavel peut entreprendre tout ce qu'il veut sur le plan offensif. Il recèle pour cela le dynamisme et la clairvoyance. Moi, je me positionne un peu en retrait de lui pour tenter d'apporter ma créativité personnelle à notre construction. En équipe nationale, le coach insiste beaucoup pour que nous ne nous souciions pas exclusivement du jeu offensif. Il entend que nous défendions également avec générosité. Il appelle cela une défense constructive. Elle contribue à étoffer notre bagage en rendant notre jeu sans ballon plus avisé encore.»
Karel Brückner insiste beaucoup aussi sur l'état d'esprit qui doit prévaloir avant chaque rencontre: «Je veux qu'on aborde chaque match - et particulièrement celui de ce soir, contre la Lettonie -avec les qualités morales qui ont été les nôtres tout au long du tournoi qualificatif: on doit se lancer à la conquête de la victoire avec respect et humilité. On ne doit jamais sous-estimer son adversaire mais jamais non plus le surévaluer. Cette appréhension raisonnée est la meilleure manière que j'ai trouvée de doper la confiance individuelle de chacun de mes joueurs.»
Illustration, dès 18h, contre les surprenants Lettons...
Source : dhnet
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Karel Brueckner (sélectionneur de
la République tchèque): "La seconde période a été davantage
représentative de la façon dont nous pouvons jouer. La Lettonie a très
bien défendu et nous a frustrés pendant de longs moments mais nous
n'avons jamais renoncé. Je ne pense pas avoir déjà été aussi impliqué
dans un match en tant qu'entraîneur. C'était très bon pour les nerfs."
Aleksandrs Starkovs (sélectionneur de la Lettonie): "C'était très
stressant pour nous, car c'était notre premier match à un tel niveau.
Nous avions peur d'être trop en dessous, mais nous pouvons être
satisfaits de notre football. Au cours du match, les Tchèques ont
montré qu'ils étaient meilleurs techniquement que nous, mais nous
pouvons être fiers de notre prestation. Ce match nous donne plein de
confiance."
la République tchèque): "La seconde période a été davantage
représentative de la façon dont nous pouvons jouer. La Lettonie a très
bien défendu et nous a frustrés pendant de longs moments mais nous
n'avons jamais renoncé. Je ne pense pas avoir déjà été aussi impliqué
dans un match en tant qu'entraîneur. C'était très bon pour les nerfs."
Aleksandrs Starkovs (sélectionneur de la Lettonie): "C'était très
stressant pour nous, car c'était notre premier match à un tel niveau.
Nous avions peur d'être trop en dessous, mais nous pouvons être
satisfaits de notre football. Au cours du match, les Tchèques ont
montré qu'ils étaient meilleurs techniquement que nous, mais nous
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Commentaires très brillants du coach letton.
Et Matt, tu diras à ton ex-boss que la République tchèque est une nation de football, et non de hockey sur glace. Désolant !
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SOS (Save Our Soccer) - Impact de Montréal, et rien d'autre.
Si un imposteur rentre chez moi et s'en prend à ma famille, je vais intervenir ; Joey, c'est le temps, là, de ''kicker'' les poubelles...
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Voilà l'article qu'il avait fait il y a 4 ans sur les Tchèques. L'objectif était de savoir quel était le sport le plus populaire (voir morceau en gras) et surtout de parler de foot le moins possible.
RENAUD HERMAL
Aussi à l'aise sur glace que sur gazon
Si la République tchèque ne vit son indépendance proclamée qu’en 1992, il n’en demeure pas moins que ce pays possède déjà une culture et un palmarès sportifs qui force le respect. Il est vrai, qu’auparavant, sous le nom de Tchéquoslavaquie, un certain Emil Zatopek avait déjà contribué à la bonne image de son pays. Quadruple champion olympique en 1948 à Londres (10.000 m) et en 1952 à Helsinki (5.000 m, 10.000 m et marathon), hospitalisé depuis la fin septembre après une difficile opération du genou, Zatopek, agé aujourd’hui de 77 ans, est sans nul doute possible la figure emblématique du sport tchéquoslovaque. Mais il n’est pas le seul, Ivan Lendl, Martina Navratilova et Jana Novotna ont aussi porté bien haut les couleurs nationales. Mais les temps ont changé et la République aussi.
“De nos jours, on ne parle plus que deux sportifs d’un tout autre genre nous raconte Jaroslav Kolar, attaché de presse de la fédération tchèque de football. Il s’agit de Jaromir Jagr et de Dominik Hasek !” Il faut l’avouer, deux noms peu connus dans nos régions, sauf pour tous les amateurs de hockey sur glace puisque Hasek est à ce sport ce que Preud’homme était au football. Quant à Jagr, il est considéré comme étant l’un des meilleurs attaquants de la National Hockey League (NHL). Si le premier défend les buts des Buffalo Sabres et si le second inscrit des buts à la pelle pour le compte des Pittsburgh Penguins, c’est surtout sous le maillot de l’équipe nationale qu’ils se sont distingués. En effet, la République tchèque n’est ni plus ni moins que championne olympique et du monde en titre de hockey sur glace. Dominik Hasek fut d’ailleurs élu meilleur athlète olympique aux Jeux de Nagano !
AVEC LE FOOTBALL
“Il est vrai aussi que l’histoire de notre pays n’est pas comparable aux autres poursuit Jaroslav Kolar. Cependant, en sept ans d’existence on a de quoi être fier. Car derrière le hockey sur glace, le football tient une place importante. Il est d’ailleurs, paradoxalement, le sport le plus populaire chez nous. Les joueurs que sont Pavel Nedved et Patrick Berger n’ont, pour finir, pas grand chose à envier aux hockeyeurs”. Leur palmarès n’est tout simplement pas le même. Toutefois, cela pourrait vite changer. “Nous avons connu une année 99 absolument incroyable au niveau footbalistique explique Kolar. Notre équipe nationale A a été la première formation qualifié pour l’Euro après votre pays et les Pays-Bas. Elle a remporté tous ses matches dans son groupe ! Mais ce n’est pas tout, les Espoirs se sont aussi qualifiés pour leur Euro alors qu’en Ligue des champions, le Sparta Prague s’est qualifié pour le second tour ! Vous voyez, on a beaucoup de raisons d’être optimiste. C’est sans doute pour cela que l’Euro 2000 suscite beaucoup de passions.”
La République tchèque fut donc rapidement qualifiée pour l’Euro. Une compétition qui lui a d’ailleurs souvent réussie. Les amateurs de ballon rond ont encore en mémoire le parcours incroyable de la bande à Nedved, Poborski et autres Smicer qui s’est inclinée en finale de l’Euro 96 face à l’Allemagne. “N’oublions pas que 20 ans plutôt, sous le nom de Tchéquoslovaquie, nous avons remporté ce championnat d’Europe et qu’en 1962, Josef Masopust fut élu meilleur joueur européen !”
Le sport et la République tchèque font vraiment bon ménage. Pas mal pour un pays où la population est égale à celle de la Belgique. Comme quoi...
RENAUD HERMAL
Aussi à l'aise sur glace que sur gazon
Si la République tchèque ne vit son indépendance proclamée qu’en 1992, il n’en demeure pas moins que ce pays possède déjà une culture et un palmarès sportifs qui force le respect. Il est vrai, qu’auparavant, sous le nom de Tchéquoslavaquie, un certain Emil Zatopek avait déjà contribué à la bonne image de son pays. Quadruple champion olympique en 1948 à Londres (10.000 m) et en 1952 à Helsinki (5.000 m, 10.000 m et marathon), hospitalisé depuis la fin septembre après une difficile opération du genou, Zatopek, agé aujourd’hui de 77 ans, est sans nul doute possible la figure emblématique du sport tchéquoslovaque. Mais il n’est pas le seul, Ivan Lendl, Martina Navratilova et Jana Novotna ont aussi porté bien haut les couleurs nationales. Mais les temps ont changé et la République aussi.
“De nos jours, on ne parle plus que deux sportifs d’un tout autre genre nous raconte Jaroslav Kolar, attaché de presse de la fédération tchèque de football. Il s’agit de Jaromir Jagr et de Dominik Hasek !” Il faut l’avouer, deux noms peu connus dans nos régions, sauf pour tous les amateurs de hockey sur glace puisque Hasek est à ce sport ce que Preud’homme était au football. Quant à Jagr, il est considéré comme étant l’un des meilleurs attaquants de la National Hockey League (NHL). Si le premier défend les buts des Buffalo Sabres et si le second inscrit des buts à la pelle pour le compte des Pittsburgh Penguins, c’est surtout sous le maillot de l’équipe nationale qu’ils se sont distingués. En effet, la République tchèque n’est ni plus ni moins que championne olympique et du monde en titre de hockey sur glace. Dominik Hasek fut d’ailleurs élu meilleur athlète olympique aux Jeux de Nagano !
AVEC LE FOOTBALL
“Il est vrai aussi que l’histoire de notre pays n’est pas comparable aux autres poursuit Jaroslav Kolar. Cependant, en sept ans d’existence on a de quoi être fier. Car derrière le hockey sur glace, le football tient une place importante. Il est d’ailleurs, paradoxalement, le sport le plus populaire chez nous. Les joueurs que sont Pavel Nedved et Patrick Berger n’ont, pour finir, pas grand chose à envier aux hockeyeurs”. Leur palmarès n’est tout simplement pas le même. Toutefois, cela pourrait vite changer. “Nous avons connu une année 99 absolument incroyable au niveau footbalistique explique Kolar. Notre équipe nationale A a été la première formation qualifié pour l’Euro après votre pays et les Pays-Bas. Elle a remporté tous ses matches dans son groupe ! Mais ce n’est pas tout, les Espoirs se sont aussi qualifiés pour leur Euro alors qu’en Ligue des champions, le Sparta Prague s’est qualifié pour le second tour ! Vous voyez, on a beaucoup de raisons d’être optimiste. C’est sans doute pour cela que l’Euro 2000 suscite beaucoup de passions.”
La République tchèque fut donc rapidement qualifiée pour l’Euro. Une compétition qui lui a d’ailleurs souvent réussie. Les amateurs de ballon rond ont encore en mémoire le parcours incroyable de la bande à Nedved, Poborski et autres Smicer qui s’est inclinée en finale de l’Euro 96 face à l’Allemagne. “N’oublions pas que 20 ans plutôt, sous le nom de Tchéquoslovaquie, nous avons remporté ce championnat d’Europe et qu’en 1962, Josef Masopust fut élu meilleur joueur européen !”
Le sport et la République tchèque font vraiment bon ménage. Pas mal pour un pays où la population est égale à celle de la Belgique. Comme quoi...
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Ça veut dire quoi cette phrase de 'Cependant' à 'chez nous'?
J'ai fait un énorme travail sur ce pays et j'ai la bible du pays. Au niveau des sports, le foot est no.1, le hockey 3e ou 4e j'ai oublié.
Le sport national au Canada c'est La crosse ou le hockey? Les livres d'histoire diront La crosse, même si moins de 1% de la population est capable de nommer un seul joueur de ce sport.
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Si un imposteur rentre chez moi et s'en prend à ma famille, je vais intervenir ; Joey, c'est le temps, là, de ''kicker'' les poubelles...
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Signification de la phrase
Ca veut dire qu'un jeune pays de 7 ans a un très beau palmarès en hockey, ce qui le rend très fier.
Tous les nouveaux pays "montent" en importance les sports dans lesquels ils ont un très beau palmarès car ça leur permet d'affirmer leur identité
Mais, même si le palmarès en foot n'a pas été aussi bon qu'en hockey pendant les 7 ans depuis l'indépendance, il reste quand même que le foot est le sport n°1 en république tchèque
Faut pas oublier non plus que pour ces articles, on a souvent interrogé des journalistes. Donc, popularité reprend trois critères : intérêt de la population, participation et couverture médiatique
Ca veut dire qu'un jeune pays de 7 ans a un très beau palmarès en hockey, ce qui le rend très fier.
Tous les nouveaux pays "montent" en importance les sports dans lesquels ils ont un très beau palmarès car ça leur permet d'affirmer leur identité
Mais, même si le palmarès en foot n'a pas été aussi bon qu'en hockey pendant les 7 ans depuis l'indépendance, il reste quand même que le foot est le sport n°1 en république tchèque
Faut pas oublier non plus que pour ces articles, on a souvent interrogé des journalistes. Donc, popularité reprend trois critères : intérêt de la population, participation et couverture médiatique
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Ben là, nommez-moi un seul pays qui a une sélection sérieuse dans ces deux sports avec un meilleur palmarès en soccer? Ça n'arrivera jamais, le nombre de bons pays de hockey se comptant sur la main droite...
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