Mr.Stats a écrit :deba2012 a écrit :onze puccino 93 a écrit :Scabs ou pas, JdM demeure un partenaire de l'Impact.
La couverture de l'Impact par Rue Frontenac est drôlement plus de qualité que celle du JdeM. Mais bon, t'as peut-être raison, les pimps n'ont qu'à payer pour qu'on achète le cul qu'ils nous offrent en vitrine. Au fond, tout est neutre. Le journal des scabs, c'est à vomir.
Est-ce qu'on peut utiliser un autre mot que scab, s'il-vous-plait. Ceux qui les remplacent sont pas là pour faire chier ceux qui sont en lock-out, ils méritent et ont travailler dur pour se rendre où ils sont. L'agence de presse de Québécor était au départ la solution pour remplacer la Presse Canadienne et autres agences de presse, elle n'a pas été crée pour prendre la place des journalistes en lock-out. Un peu de respect serait apprécié, les scabs, comme tu dis, non aucun rapport avec le conflit actuel, m'enfin oui.. mais ils n'y sont pour rien. Ces personnes qui font ce travail se font regarder de travers, se font juger, se font crier injurier, et ce, quotidiennement.
Sans rancune, il faut quand même avouer que l'agence de presse Québécor a été créée par la direction de Québécor justement pour uniformiser sa source d'information à l'interne plutôt qu'à l'externe et ce, au détriment de la pluralité de points de vue. C'était une décision d'affaires pour garder à l'interne les profits envoyées aux autres agences plutôt que d'offrir un choix plus grand d'infos à ses clients. C'est exactement le même exercice que d'offrir la marque «nos amis» dans tout un réseau de médias différents mais du même propriétaires (JDQ - JDM - LCN - TVA). C'est comme les supermarchés qui disent: «venez chez nous - nous en avons des tonnes!» mais en fait, il n'y a que 2 marques différentes de pain mais en 20 000 exemplaires en inventaire! Ce n'est pas ce que j'appelle du choix!
Donc, il était clair qu'en cas de conflit, il n'y avait pas de choix autre pour la direction. Tout le monde sait que c'est QMI qui agit comme scab parce qu'ils appartiennent à Québécor. Si les textes ou infos ne provenaient que de d'autres agences de presse (Presse canadienne, Reuters et autres), ce serait différent.
Et le conflit serait probablement déjà en train de se régler.
