2e club, 1er club ou unique passion?

[hsj]

Je vais commencer par dire que j’ai une curiosité/culture sportive assez diversifiée ce qui fait que j’ai touché à bien des trucs depuis l’enfance. Par contre, ma première passion fut définitivement les Expos et le baseball. J’ai joué à un niveau compétitif toute ma jeunesse jusqu'à 18 ans et ensuite à la balle molle, jusqu’à aujourd’hui. La grève de 1994 m’a déchiré le cœur et la vente finale de l’équipe en 2004 m’a achevé. J’adore toujours le baseball – mais je n’ai plus d’appartenance à aucune équipe, même si j’ai donné mes allégeances aux Red Sox.

Je joue également au hockey depuis que je suis tout petit et encore aujourd’hui. Durant les années 1990 je consomme énormément de hockey. Je perds de l’intérêt avec la 2ème vague d’expansion en Floride et Californie. J’aime bien le Canadien, mais je suis incapable de supporter ses fans…

Suite aux coupes du monde 1998 et 2002, je commence à avoir un intérêt plus important pour le football. Je m’achète le jeu de simulation Championship Manager 2001 et réussit à amener une équipe amateur française (Cherbourg) en ligue 2, sans rien comprendre à la tactique!

Au milieu des années 2000, je me cherche un nouveau sport à pratiquer et tombe complètement en amour avec le cricket! Je trouve un groupe d’expats à Montréal et m’initie au sport (que je pratique encore quand j’ai le temps aujourd’hui). Les exploits des équipes Australiennes avec Shane Warne, Adam Gilchrist, Ricky Ponting, Glenn McGrath me subjuguent et je deviens un fan fini de cricket. Lorsque je vais en voyage à Londres en 2009, je ne pense même pas à visiter un stade de foot, je vais à Lords’ pour voir le cricket!

Été 2010 – ma femme et moi avons notre première fille. Je suis moins dispo pour jouer au cricket et reste un peu plus à la maison les weekends. Ça tombe bien, c’est la coupe du monde avec l’Espagne! Intérêt renouvelé de mon côté. J’achète Football Manager 2010 et recommence à apprivoiser les ligues et joueurs internationaux. Je vois Eden Hazard avec Lille sur TV5 et j’ai une illumination : j’adore regarder le soccer. C’est à ce moment que je m’intéresse à l’Impact de façon plus sérieuse et deviens un fan fini de Leonardo Di Lorenzo. J’assiste à mes premiers matchs au SS et comprend qu’il se passe quelque chose de spécial là-bas.

L’entrée du club en MLS a coïncidé pour moi en une histoire d’amour avec le club. Je suis l’entre saison NASL-MLS très attentivement, essaie de connaître le championnat et les joueurs…et découvre ce forum. Depuis je suis quotidiennement les activités de l’équipe. J’ai vu probablement 75% des matchs depuis 2012. Je n’ai jamais eu un aussi gros feeling sportif que lors du but de Cameron Porter, seul dans mon salon l’autre soir à crier, le poing en l’air, sourire fendu jusqu’aux oreilles! J’ai causé tout un scandale au bureau en déclarant avoir regardé le match de IMFC mercredi passé plutôt que les séries du CH…bref à ce point-ci l’Impact est définitivement mon club. Je vois mal comment ça pourrait changer…

[Mr.MojoRisin]

J'ai 20 et mes plus anciens souvenirs de l'impact datent d'environs 2004 alors que mon école primaire (qui possèdent une concentration soccer depuis 1999, l'un des seuls au Québec à ma connaissance du moins pour cette époque) organisait une fois par année une visite pour les élèves méritant (inutile de vous dire que j'ai plus souvent manqué l'activité que j'ai pu y participer ) À cette époque, mes plus anciens souvenirs du soccer sont l'Euro 2002 et peut-être une ligue des champions pour Benfica ( mon professeur était fan fini de cette équipe étant originaire du Portugal). L'impact n'était encore qu'une petite équipe marginale sans crédibilité selon notre professeur qui n'avait des yeux que pour l'Europe et le snobisme qui vient avec. Mais que voulez vous, c'était le plus haut niveau de soccer disponible au Québec à l'époque. J'ai des souvenirs du Stade Claude-Robillard et de duel contre Rochester. De la piste d'athlétisme et des tentes blanches sous lesquels ont vendait des ballons de l'impact que tout le monde avait par chez moi.

À l'époque j'étais surtout un gros fan du Canadiens de Montréal, origine Québécoise de la Rive-Sud oblige. Je suivais les coupes internationales comme tous le monde mais pas les championnats puisqu'ils n'ont jamais été diffusé ici. Je me souviens de l'événement Santos Laguna, mais je n'avait pas suivi de très près. Tout à changé le jour ou l'impact à rejoint la MLS. À partir de ce jour, l'impact faisait partit du plus grand championnat Nord-Américain (Entrons le Mexique dans l'Amérique centrale pour la cause...). À ce moment cela voulait surtout dire pour moi que l'Impact allait jouer contre David Beckham, seul joueur de soccer connu de tous au Québec, même ma mère le connaît comme le gars des pubs de sous-vêtements. Je décide d'aller voir le match d'ouverture de l'Impact en MLS en 2012 contre Chicago. À partir de ce jour, la flamme pour l'impact n'a cesser de croître. Je tripais sur Donovan Ricketts (lol). Je pense que je suis aller voir 3 match cette années la. L'année suivante c''était la signature de Nesta. Pour quelqu'un comme moi, qui n'avait alors pas la plus grande culture foot au monde, de voir un joueur qu'on connais, qui à une réputation et qui est vue comme une légende dans un club comme l'AC Milan, c'est juste incroyable. C'étais le début et pour la première fois, peut-être un peu utopiquement, je croyais fermement que un jour l'Impact et la MLS serait sur le même pied d'égalité que l'Europe ou du moins l'espérer. Cela peut paraître banale, mais depuis ce jour lorsque quelqu'un me demande qu'elle est mon club préféré au monde je répond automatiquement l'Impact de Montréal. Avant, on m'aurait répondu que l'impact n'est pas un vrai club compétitif et on aurait attendu que je réponde Juventus, Bayern, Real ou Barça. Maintenant, ce n'est plus le cas.

Les insuccès de l'Impact l'année dernière à refroidi l'ardeur de la majorité des Québecois mais pas pour moi. J'aime mon club dans la victoire comme dans la défaite. Tant que l'effort y est. Aujourd'hui, je suis fier de dire que l'Impact occupe une place dans mon cœur que le Canadiens de Montréal à déjà eu, mais aujourd'hui j'ai troqué le bleu blanc rouge pour le bleu blanc noir. Je suis fier de mon équipe et je trouve cela encore plus valorisant et intéressant d'aimer un petit club aspirant à être un jour un grand club et avec lequel on à un lien réel plutôt qu'être comme certains de mes amis qui aiment le Real parce que le Real gagne et que lorsque Barça gagne, ils aiment le Barça malgré qu'ils n'ont jamais vue jou un de ses deux clubs.

[Arsenal]

Moi, je suis entrain de me demander ce qui va arriver de l'impact après mercredi, qu'on gagne ou perd...
Est-ce que le club va finalement prendre une place plus grande dans le coeur des québécois?

[Cancoillotte au rhum]

Bien sûr et pas qu'au Québec !
Rappelle toi l'Impact avant et après 2009.

[Polio]

Moi, je suis entrain de me demander ce qui va arriver de l'impact après mercredi, qu'on gagne ou perd...
Est-ce que le club va finalement prendre une place plus grande dans le coeur des québécois?

2009, l'IMFC à été cherché bien des fans.
MLS, l'IMFC à encore élargit son bassin de fans.
Avec le but de Porter, l'IMFC à conquis quelques personnes.
Avec une expérience réussi mercredi, ils auront encore plus de fans.

Goutte par goutte.

Avec en prime un item d'art plastique.

[Arsenal]

Moi, je suis entrain de me demander ce qui va arriver de l'impact après mercredi, qu'on gagne ou perd...
Est-ce que le club va finalement prendre une place plus grande dans le coeur des québécois?

2009, l'IMFC à été cherché bien des fans.
MLS, l'IMFC à encore élargit son bassin de fans.
Avec le but de Porter, l'IMFC à conquis quelques personnes.
Avec une expérience réussi mercredi, ils auront encore plus de fans.

Goutte par goutte.

Avec en prime un item d'art plastique.

En vynile

Reste que si Montréal marque 61000 boutres de vynile sur le terrain on se prend un rouge par l'officiel...

[Wonnilon]

Automne 2003. Je suis arrivé à Édimbourg en Écosse où je devais demeurer 1 an dans le cadre d'une assignation à l'étranger pour mon employeur du moment. Mon manager, Haydn, m'offre d'aller voir un match du Celtic avec lui à Glasgow face au Heart of Midlothian. Je ne connais à peu près rien au foot à ce moment mais je m'informe et je suis emballé d'aller voir le match (surtout que mon manager a de super bons tickets de saison). Avant le match, nous réussissons de peine et de misère à entrer dans un bar du Celtic Social Club (je ne sais pas lequel car il y en a plusieurs). Le portier nous refusait l'entrée jusqu'à ce que Haydn dise que j'avais fait le voyage de Montréal spécialement pour le match....

À l'intérieur, la Guiness coule à flots. Il est 11h du matin et les partisans chantent et dansent sur les tables au milieu des verres de bière vide - la plupart sont déjà pas mal réchaud... Il y a un groupe de musique qui joue des chansons traditionnelles Irlandaises. Soudain, environ 45 min avant le match, l'atmosphère devient plus solennelle et le groupe entame l'hymne national Irlandais. Par la suite, la foule en délire entame la marche jusqu'à 'Paradise' - le surnom donné au Celtic Park. Durant tout le trajet, les partisans chantent.

C'est une superbe journée d'automne et le soleil me réchauffe le visage. Le 'You'll never walk alone' se met à jouer dans le stade et les fans chantent à tue-tête, je capote de voir une telle ambiance! Puis, le fameux 'huddle' et le match est lancé. Martin O'Neill est le manager et aligne entre autres Henrik Larsson, Stylian Petrov, Bobo Balde et Neil Lennon (qui deviendra le manager du club plus tard). Ce jour là, le Celtic a gagné 5-0, et moi, j'ai été conquis à jamais.

Maintenant, bien que je suive encore le Celtic à distance, l'Impact a pris la première place dans mon coeur.

[OreoTheBoyWonder]

Je dois vous dire que je prends un plaisir fou à lire toutes ces petites histoires d'amour.

[Veva]

En 2006, l'équipe de soccer de ma petite soeur a distribué des billets gratuits pour un match au CCR contre le Battery de Charleston. Je dois dire que je suis looooiiin d'être sportive, plus le genre à lire des livres, bien tranquillement, dans mon salon. J'avais alors 14 ans. Et je suis tombée en amour avec l'équipe. Je ne connaissais rien du tout au soccer, mais quelque chose me disait que ce numéro 18 qui courait vite (Leonardo Di Lorenzo) était pas mal bon. Ce jour-là, il a autographié mon billet, je l'ai encadré, et je l'ai encore à ce jour. C'était le début d'une longue histoire d'amour.
Comme j'étais jeune et que je vivais en Montérégie, j'ai dû suivre l'équipe de loin en 2007 et en 2008. En 2009, j'ai commencé à pouvoir me rendre plus souvent au stade, et j'ai assisté aux matchs de séries en tribune est, près du kop, dont la finale. Voilà, c'était assez pour me convaincre d'acheter un abonnement en 114. J'y ai vécu des soirées magiques sous la pluie ou sous le soleil tapant, je m'y suis fait des amitiés qui demeurent à ce jour et des souvenirs qui resteront jamais gravés en moi.
L'an dernier, pour des raisons personnelles, j'ai dû déménager à Calgary et cette année, à Houston, mais j'essaie de continuer à suivre l'équipe du mieux que je peux. Un amour comme ça, ça ne se perd pas facilement. Ma famille n'a jamais vraiment regardé du soccer (ma mère n'aime pas trop le sport et mon père ne jure que par le football canadien et américain), mais grâce à moi, ils ont la piqûre! Ils vont être au Stade olympique pour la finale contre América. Première fois qu'ils vont au stade sans moi! Et de mon côté, j'essaie d'en apprendre davantage sur la MLS et le soccer international, comme mes connaissances se limitent pas mal juste à l'Impact.

Lors du match de finale de Ligue des Champions contre América au Mexique, j'ai eu les larmes aux yeux. Comme mon équipe avait évolué depuis 2006! Nouveau stade, nouvelle ligue, Coupes du Canada, Ligue des Champions... Et je me considère très chanceuse d'avoir pu être présente lors de ces événements mémorables!

Bref, morale de l'histoire, je sais que les billets gratuits distribués largement à des assos de soccer dans la province peuvent être une plaie des fois, mais je dois ma passion à un de ces billets gratuits. Il faut donc rester optimiste et espérer qu'un autre jeune tombe en amour, tout comme moi!

[Polio]

Sous toute réserve
***
Bon et pour nous.

Pre Concacaf, l'IMFC était pour nous une anomalie de l'espace temps.
Des souvenir du CEGEP cantonnait encore dans mon esprit, un IMFC d'un calibre sportif inférieur aux alternatives de foot Québécois.

Mais 2009, un autre monde. Nous avions amené nos bouteilles d'eau pis ces maudits goons en noirs au niveau 200 nous laissaient pas entrer! On devait gaspiller nos bouteilles dans le gros bac à l'extérieur. Grr, 2 bouteilles pour une ptite équipe de rien du tout. Pour qui ils se prennaient ? Nous avons même hésiter d'entrer parce que c'était frustrant de se voir brimer dans nos droits fondamentaux! Mais la foule nous a "poussé" à l'intérieur. Quand on est arrivé dans notre section, le stade était remplie d'une aura jaune charmeuse, un bel endroit douillet et accueillant.

Un main géante pour Klap-klapper, ma femme avait le sourire fendu aux lèvres. Le match n'était même pas commencé. Nous avons sauté partout, la foule était en liesse et l'expérience est restée gravée dans notre mémoire comme une soirée à retenir.
Mais nous étions encore en NASL. Il manquait quelque chose.
MDS était sympa et tout mais il manquait quelque chose.

Il manquait de flair, de profesionnalisme et de couverture à cette ligue.
Quelques matchs au stade saputo, avec livraison des billets par taxi. C,était le top. Le spectacle était bien. Mais toujours cette impression d'être là pour supporter des sportifs marginaux.

Avec l'arrivé en MLS, tout à changé. Au début j'avais l'impression que la MLS était de niveau NASL mais avec un fort désir de croître. C'est cette implication de la LIGUE qui m'a attiré plus que l'équipe elle-même. Endosser une équipe qui évolue, oui.

Bien content de mon choix.

[94,04,09,?]

Automne 2003. Je suis arrivé à Édimbourg en Écosse où je devais demeurer 1 an dans le cadre d'une assignation à l'étranger pour mon employeur du moment. Mon manager, Haydn, m'offre d'aller voir un match du Celtic avec lui à Glasgow face au Heart of Midlothian. Je ne connais à peu près rien au foot à ce moment mais je m'informe et je suis emballé d'aller voir le match (surtout que mon manager a de super bons tickets de saison). Avant le match, nous réussissons de peine et de misère à entrer dans un bar du Celtic Social Club (je ne sais pas lequel car il y en a plusieurs). Le portier nous refusait l'entrée jusqu'à ce que Haydn dise que j'avais fait le voyage de Montréal spécialement pour le match....

À l'intérieur, la Guiness coule à flots. Il est 11h du matin et les partisans chantent et dansent sur les tables au milieu des verres de bière vide - la plupart sont déjà pas mal réchaud... Il y a un groupe de musique qui joue des chansons traditionnelles Irlandaises. Soudain, environ 45 min avant le match, l'atmosphère devient plus solennelle et le groupe entame l'hymne national Irlandais. Par la suite, la foule en délire entame la marche jusqu'à 'Paradise' - le surnom donné au Celtic Park. Durant tout le trajet, les partisans chantent.

C'est une superbe journée d'automne et le soleil me réchauffe le visage. Le 'You'll never walk alone' se met à jouer dans le stade et les fans chantent à tue-tête, je capote de voir une telle ambiance! Puis, le fameux 'huddle' et le match est lancé. Martin O'Neill est le manager et aligne entre autres Henrik Larsson, Stylian Petrov, Bobo Balde et Neil Lennon (qui deviendra le manager du club plus tard). Ce jour là, le Celtic a gagné 5-0, et moi, j'ai été conquis à jamais.

Maintenant, bien que je suive encore le Celtic à distance, l'Impact a pris la première place dans mon coeur.

Wow. ÇA, c'est un intro à un sport. Je serais devenu fou je pense.

[Wonnilon]

Automne 2003. Je suis arrivé à Édimbourg en Écosse où je devais demeurer 1 an dans le cadre d'une assignation à l'étranger pour mon employeur du moment. Mon manager, Haydn, m'offre d'aller voir un match du Celtic avec lui à Glasgow face au Heart of Midlothian. Je ne connais à peu près rien au foot à ce moment mais je m'informe et je suis emballé d'aller voir le match (surtout que mon manager a de super bons tickets de saison). Avant le match, nous réussissons de peine et de misère à entrer dans un bar du Celtic Social Club (je ne sais pas lequel car il y en a plusieurs). Le portier nous refusait l'entrée jusqu'à ce que Haydn dise que j'avais fait le voyage de Montréal spécialement pour le match....

À l'intérieur, la Guiness coule à flots. Il est 11h du matin et les partisans chantent et dansent sur les tables au milieu des verres de bière vide - la plupart sont déjà pas mal réchaud... Il y a un groupe de musique qui joue des chansons traditionnelles Irlandaises. Soudain, environ 45 min avant le match, l'atmosphère devient plus solennelle et le groupe entame l'hymne national Irlandais. Par la suite, la foule en délire entame la marche jusqu'à 'Paradise' - le surnom donné au Celtic Park. Durant tout le trajet, les partisans chantent.

C'est une superbe journée d'automne et le soleil me réchauffe le visage. Le 'You'll never walk alone' se met à jouer dans le stade et les fans chantent à tue-tête, je capote de voir une telle ambiance! Puis, le fameux 'huddle' et le match est lancé. Martin O'Neill est le manager et aligne entre autres Henrik Larsson, Stylian Petrov, Bobo Balde et Neil Lennon (qui deviendra le manager du club plus tard). Ce jour là, le Celtic a gagné 5-0, et moi, j'ai été conquis à jamais.

Maintenant, bien que je suive encore le Celtic à distance, l'Impact a pris la première place dans mon coeur.

Wow. ÇA, c'est un intro à un sport. Je serais devenu fou je pense.

Je crois que j'ai des vidéos du Club Social, je essayer de les trouver et de les mettre ici...

[Arsenal]

Automne 2003. Je suis arrivé à Édimbourg en Écosse où je devais demeurer 1 an dans le cadre d'une assignation à l'étranger pour mon employeur du moment. Mon manager, Haydn, m'offre d'aller voir un match du Celtic avec lui à Glasgow face au Heart of Midlothian. Je ne connais à peu près rien au foot à ce moment mais je m'informe et je suis emballé d'aller voir le match (surtout que mon manager a de super bons tickets de saison). Avant le match, nous réussissons de peine et de misère à entrer dans un bar du Celtic Social Club (je ne sais pas lequel car il y en a plusieurs). Le portier nous refusait l'entrée jusqu'à ce que Haydn dise que j'avais fait le voyage de Montréal spécialement pour le match....

À l'intérieur, la Guiness coule à flots. Il est 11h du matin et les partisans chantent et dansent sur les tables au milieu des verres de bière vide - la plupart sont déjà pas mal réchaud... Il y a un groupe de musique qui joue des chansons traditionnelles Irlandaises. Soudain, environ 45 min avant le match, l'atmosphère devient plus solennelle et le groupe entame l'hymne national Irlandais. Par la suite, la foule en délire entame la marche jusqu'à 'Paradise' - le surnom donné au Celtic Park. Durant tout le trajet, les partisans chantent.

C'est une superbe journée d'automne et le soleil me réchauffe le visage. Le 'You'll never walk alone' se met à jouer dans le stade et les fans chantent à tue-tête, je capote de voir une telle ambiance! Puis, le fameux 'huddle' et le match est lancé. Martin O'Neill est le manager et aligne entre autres Henrik Larsson, Stylian Petrov, Bobo Balde et Neil Lennon (qui deviendra le manager du club plus tard). Ce jour là, le Celtic a gagné 5-0, et moi, j'ai été conquis à jamais.

Maintenant, bien que je suive encore le Celtic à distance, l'Impact a pris la première place dans mon coeur.

Wow. ÇA, c'est un intro à un sport. Je serais devenu fou je pense.

Je crois que j'ai des vidéos du Club Social, je essayer de les trouver et de les mettre ici...

Dans quelques heures j'espère faire vivre la même chose à un type qui n'a jamais été à un match.