Bon match en perspective aujourd'hui en demi-finale....
Allemagne - Brésil : un doux parfum de revanche
24 juin 2005
par FIFAworldcup.com
Trois ans après la finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002, disputée à Yokohama, le destin réunit à nouveau l’Allemagne et le Brésil dans un duel décisif avec, en ligne de mire, la finale d’une compétition officielle de la FIFA. Une victoire des Allemands n’effacerait certes pas cette douloureuse défaite, mais à tout juste douze mois de sa Coupe du Monde de la FIFA, devant son public, quel meilleur rachat pourrait espérer la Mannschaft que d’épingler les quintuples champions du Monde en demi-finale de sa Coupe des Confédérations de la FIFA ?
A l’orée de ce match choc, il est impossible de ne pas évoquer le 2-0 qui a permis au Brésil de remporter sa cinquième couronne mondiale. Les deux buts de Ronaldo, la malchance d’Oliver Kahn, les arrêts de Marcos et l’absence d’un Michael Ballack sanctionné sont autant d’images que les protagonistes doivent se repasser sans cesse à quelques heures d’une rencontre comme celle-ci…
Pourtant, lorsque le ballon sera mis en jeu, ce samedi 25 juin dans le Franken-Stadion de Nuremberg, les souvenirs laisseront place à un duel acharné entre deux sélections qui, malgré leurs différences actuelles, viseront le même objectif : une place en finale de la compétition.
Une Mannschaft jeune et prometteuse
Après l’échec de 2002, toute l’Allemagne a réclamé un renouveau au sein de la sélection. Mais le processus de rajeunissement n’a véritablement commencé qu’après l’Euro 2004, lorsque Jürgen Klinsmann a été chargé de mener à bien cette mission. Aujourd’hui, les résultats sont encourageants. Autour des expérimentés Kahn, Ballack et autre Torsten Frings, Klinsmann a réuni un groupe de jeunes joueurs avec lesquels il espère être à la hauteur des espérances nationales lors du prochain rendez-vous mondial. Pouvait-il rêver meilleur test que ce match contre le Brésil ?
Per Mertesacker illustre parfaitement la nouvelle garde germanique. Du haut de ses 20 ans et de ses 10 sélections, le sociétaire du club d’Hanovre 96 apparaît déjà comme l’une des pièces maîtresses de la défense allemande. C’est en septembre 2004 qu’il a endossé pour la première fois le maillot de l’équipe A, un mois après le match nul 1-1 concédé face au Brésil lors d’un match amical à Berlin.
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"Pour être honnête, je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ce match, mais affronter le Brésil aujourd’hui me semble presque surréaliste. J’avoue que je suis un peu nerveux, mais cela fait partie du jeu. Je pense que c’est sain, car cela favorise la concentration", déclare sans retenue le puissant arrière central.
Outre Mertesacker, Klinsmann aura l’occasion d’observer le comportement de joueurs tels que Thomas Hitzlsperger, Robert Huth, Lukas Podolski et Kevin Kuranyi. Il pourra également constater comment réagit son équipe en l’absence du milieu de terrain Bastian Schweinsteiger, qui a écopé d’un second carton jaune contre l’Argentine et ne sera pas de la partie contre la Seleção.
Un Brésil aux deux visages
Tout au long de la première phase de cette Coupe des Confédérations de la FIFA, l’équipe de Carlos Alberto Parreira s’est montrée aussi brillante quand elle était en possession du ballon que mal à l’aise quand elle en était privée. Mais l’heure de vérité a sonné pour le Brésil : "Finis les essais. Nous avons analysé suffisamment de joueurs. Nous allons donc à présent aligner la meilleure équipe sur le terrain, tant sur le plan technique que physique. Maintenant, nous devons gagner !, a assuré l’entraîneur. Avant d’ajouter : L’Allemagne est une équipe technique et très motivée. Ils jouent chez eux et pensent déjà à la Coupe du Monde… Ce match va être très difficile."
Un avis partagé par Lúcio, titulaire à l’époque de la finale de Yokohama et actuel pensionnaire du Bayern de Munich : "C’est un groupe de qualité qui joue à domicile. Ils sont bons en attaque, leurs milieux de terrain ont progressé et se permettent même de marquer des buts. Ce match va être très compliqué."
Le Brésil n’a plus perdu contre l’Allemagne depuis 1993. C’était à Cologne, à l’occasion d’un match amical qui s’était achevé sur le score de 2-1. Leur unique confrontation en Coupe de Confédérations de la FIFA remonte à l’édition 1999, au Mexique. Les Auriverdes s’étaient alors imposés aisément 4-0.
Ronaldinho, champion du monde en 2002 et auteur d’un but lors du match de 1999, est monté au créneau devant les critiques portées à l’encontre de son équipe : “Je crois que la Seleção reste la grande favorite de ce tournoi. Elle est championne du monde en titre et son passé glorieux lui vaut le respect. Et nous comptons bien prouver samedi, face à l’Allemagne, que nous méritons toujours ce respect." A bon entendeur…
25 juin: Allemagne --- Brésil
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25 juin: Allemagne --- Brésil
Dernière modification par M@khno le 25 juin 2005 17:42, modifié 1 fois.
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Une grande déception pour moi
...
Le Brésil s'est qualifié pour la finale de la Coupe des Confédérations de la FIFA, Allemagne 2005, en battant la Nationalmannschaft 3-2, samedi 25 juin dans le Franken-Stadion de Nüremberg. La Seleçao rencontrera mercredi 29 juin, le vainqueur de la seconde demi-finale, Mexique-Argentine.
Tout le monde en Allemagne attendait ce match depuis longtemps. Dans un Franken-Stadion plein comme un œuf, l'Allemagne, pays organisateur de la Coupe des Confédérations de la FIFA 2005, accueillait le Brésil, champion du monde en titre. C'est la première fois que les deux équipes se retrouvent depuis la victoire 2-0 des Brésiliens en finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002.
Les deux équipes abordaient la rencontre dans les meilleures dispositions. Côté allemand, le capitaine Michael Ballack et le buteur Lukas Podolski effectuaient leur grand retour, tandis que le Brésilien Maicón fêtait sa première titularisation dans la compétition.
Les premiers échanges sont placés sous le signe de la prudence : aucune des deux équipes ne semble disposée à laisser le moindre espace à son adversaire. Certes, l'Allemagne contrôle le jeu en début de match, mais sans parvenir pour autant à se montrer dangereuse. Les supporters allemands vont pourtant avoir une grosse frayeur lorsqu'un coup franc de Ronaldinho traverse la surface de réparation et termine sa course au ras du montant de Lehmann.
A la 17e minute de jeu, à la suite d'un beau mouvement collectif, Bernd Schneider est parfaitement servi à l'entrée de la surface de réparation brésilienne. Le milieu de terrain international contrôle du droit et frappe instantanément du gauche, mais sa tentative passe au-dessus de la transversale.
A mesure que les minutes passent, l'Allemagne accentue sa domination et les Brésiliens ont les pires difficultés à se créer la moindre occasion. Pourtant, contre toute attente, ce sont bien les Sud-américains qui ouvrent le score, à la 21e minute. Le Brésil obtient un coup franc à une trentaine de mètres du but allemand. Adriano s'élance et expédie une frappe surpuissante qui, légèrement déviée par le mur, surprend Lehmann et finit au fond des filets (0-1, 21’).
Les Allemands refusent de se laisser décourager par ce coup du sort et, moins de deux minutes plus tard, ils reviennent à égalité. Pratiquement sur le coup d'envoi, Dida doit s'employer pour détourner sur la barre un centre vicieux d'Ernst qui prenait le chemin du but. Sur le corner qui suit, Deisler envoie le ballon naviguer devant le but brésilien, où Podolski, parfaitement démarqué, n'a plus qu'à placer sa tête pour conclure (1-1, 23’).
Ces deux buts ont au moins l'avantage de rendre le match plus vivant. Depuis l'ouverture du score, les Brésiliens jouent plus libérés et se créent davantage d'occasions. C'est ainsi que Kaka, à la 33e minute, oblige Lehmann à un bel arrêt sur une frappe lointaine. Survoltés, les champions du monde font admirer leur technique individuelle et leur vivacité. Ils lancent des attaques rapides, le plus souvent par Kaka ou Adriano, qui mettent régulièrement en danger la défense allemande. Les hommes de Klinsmann, quant à eux, s'en remettent le plus souvent à la relance de Deisler pour porter le danger dans le camp adverse.
A deux minutes de la mi-temps, Adriano s'échappe une nouvelle fois sur la droite et se présente seul à l'entrée de la surface de réparation. Le buteur de l'Inter tente alors de dribble Robert Huth et s'écroule. M. Carlos Chandía, l'arbitre de la rencontre, siffle penalty. Ronaldinho s'élance et prend Lehmann à contre-pied (1-2, 43').
Dans les dernières secondes de la première période, Podolski se retrouve encore une fois en bonne position sur un centre de la droite d'Ernst, mais l'attaquant allemand manque le ballon de quelques centimètres.
Mais alors que tout le monde croit que l'arbitre va renvoyer les vingt-deux acteurs au vestiaire, on assiste à un nouveau coup de théâtre : la confusion est entière dans la surface de réparation brésilienne sur un coup franc de Deisler. M. Chandía siffle à nouveau penalty, mais cette fois en faveur de l'Allemagne. Ballack se charge lui-même d'exécuter la sentence et expédie une frappe puissante qui ne laisse aucune chance à Dida (2-2, 45’+3).
En seconde mi-temps, Parreira le sélectionneur brésilien, fait entrer Cicinho en lieu et place de Maicón. Les Sud-américains sont d'ailleurs les premiers en action, lorsque Robinho tente sa chance des 16 mètres, obligeant Lehmann à un bel arrêt. C'est ensuite Adriano qui s'essaie, sur un nouveau coup franc aux 20 mètres, mais son tir, encore dévié par le mur, passe cette fois-ci à côté du but.
Les Brésiliens continuent à presser la défense allemande et, à la 56e minute de jeu, Ronaldinho, au terme d'une magnifique action individuelle, trouve Gilberto totalement démarqué à l'entrée de la surface de réparation. Le milieu de terrain d'Arsenal semble idéalement placé mais sa frappe manque le cadre.
A la 63e minute, Jürgen Klinsmann décide de faire sortir Kevin Kuranyi, très discret jusque-là, et lance Gerald Asamoah. Celui-ci se met rapidement en évidence en servant Ballack dans la surface de réparation brésilienne, mais le tir du meneur de jeu allemand atterrit directement dans les bras de Dida.
Deisler se voit ensuite accorder un bon coup franc à une vingtaine de mètres du but, sur le côté gauche. Malheureusement, le tir du milieu de terrain du Bayern, trop travaillé, passe largement au-dessus de la transversale.
L'Allemagne prend de l'assurance dans le jeu mais, comme en première mi-temps, ce sont les Brésiliens qui se montrent les plus réalistes. Les joueurs de Klinsmann reçoivent un premier avertissement sur une tête de Lucio seul aux six mètres, qui passe tout près du poteau. Sur l'action suivante, Adriano redonne l'avantage aux champions du monde. Le buteur de l'Inter Milan passe en force devant Huth et, seul face à Lehmann, il expédie une frappe puissante qui ne laisse aucune chance au portier allemand (2-3, 76’).
Renato remplace Kaka côté brésilien, mais les visiteurs continuent à se procurer les meilleures occasions. Lehmann doit tout d'abord se montrer vigilant sur une frappe instantanée de Robinho, avant de se détendre pour écarter un boulet de canon de Cicinho.
A dix minutes du coup de sifflet final, Jürgen Klinsmann décide de tenter le tout pour le tout, en lançant un nouvel attaquant dans la bataille. Deisler, auteur d'un match remarquable, laisse alors sa place à Mile Hanke pour permettre à l'Allemagne d'évoluer dans un système à trois pointes.
Portés par un public en délire, les Allemands y auront cru jusqu'au bout, mais la défense brésilienne, parfaitement en place, ne leur aura laissé pratiquement aucune occasion.
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Le Brésil s'est qualifié pour la finale de la Coupe des Confédérations de la FIFA, Allemagne 2005, en battant la Nationalmannschaft 3-2, samedi 25 juin dans le Franken-Stadion de Nüremberg. La Seleçao rencontrera mercredi 29 juin, le vainqueur de la seconde demi-finale, Mexique-Argentine.
Tout le monde en Allemagne attendait ce match depuis longtemps. Dans un Franken-Stadion plein comme un œuf, l'Allemagne, pays organisateur de la Coupe des Confédérations de la FIFA 2005, accueillait le Brésil, champion du monde en titre. C'est la première fois que les deux équipes se retrouvent depuis la victoire 2-0 des Brésiliens en finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002.
Les deux équipes abordaient la rencontre dans les meilleures dispositions. Côté allemand, le capitaine Michael Ballack et le buteur Lukas Podolski effectuaient leur grand retour, tandis que le Brésilien Maicón fêtait sa première titularisation dans la compétition.
Les premiers échanges sont placés sous le signe de la prudence : aucune des deux équipes ne semble disposée à laisser le moindre espace à son adversaire. Certes, l'Allemagne contrôle le jeu en début de match, mais sans parvenir pour autant à se montrer dangereuse. Les supporters allemands vont pourtant avoir une grosse frayeur lorsqu'un coup franc de Ronaldinho traverse la surface de réparation et termine sa course au ras du montant de Lehmann.
A la 17e minute de jeu, à la suite d'un beau mouvement collectif, Bernd Schneider est parfaitement servi à l'entrée de la surface de réparation brésilienne. Le milieu de terrain international contrôle du droit et frappe instantanément du gauche, mais sa tentative passe au-dessus de la transversale.
A mesure que les minutes passent, l'Allemagne accentue sa domination et les Brésiliens ont les pires difficultés à se créer la moindre occasion. Pourtant, contre toute attente, ce sont bien les Sud-américains qui ouvrent le score, à la 21e minute. Le Brésil obtient un coup franc à une trentaine de mètres du but allemand. Adriano s'élance et expédie une frappe surpuissante qui, légèrement déviée par le mur, surprend Lehmann et finit au fond des filets (0-1, 21’).
Les Allemands refusent de se laisser décourager par ce coup du sort et, moins de deux minutes plus tard, ils reviennent à égalité. Pratiquement sur le coup d'envoi, Dida doit s'employer pour détourner sur la barre un centre vicieux d'Ernst qui prenait le chemin du but. Sur le corner qui suit, Deisler envoie le ballon naviguer devant le but brésilien, où Podolski, parfaitement démarqué, n'a plus qu'à placer sa tête pour conclure (1-1, 23’).
Ces deux buts ont au moins l'avantage de rendre le match plus vivant. Depuis l'ouverture du score, les Brésiliens jouent plus libérés et se créent davantage d'occasions. C'est ainsi que Kaka, à la 33e minute, oblige Lehmann à un bel arrêt sur une frappe lointaine. Survoltés, les champions du monde font admirer leur technique individuelle et leur vivacité. Ils lancent des attaques rapides, le plus souvent par Kaka ou Adriano, qui mettent régulièrement en danger la défense allemande. Les hommes de Klinsmann, quant à eux, s'en remettent le plus souvent à la relance de Deisler pour porter le danger dans le camp adverse.
A deux minutes de la mi-temps, Adriano s'échappe une nouvelle fois sur la droite et se présente seul à l'entrée de la surface de réparation. Le buteur de l'Inter tente alors de dribble Robert Huth et s'écroule. M. Carlos Chandía, l'arbitre de la rencontre, siffle penalty. Ronaldinho s'élance et prend Lehmann à contre-pied (1-2, 43').
Dans les dernières secondes de la première période, Podolski se retrouve encore une fois en bonne position sur un centre de la droite d'Ernst, mais l'attaquant allemand manque le ballon de quelques centimètres.
Mais alors que tout le monde croit que l'arbitre va renvoyer les vingt-deux acteurs au vestiaire, on assiste à un nouveau coup de théâtre : la confusion est entière dans la surface de réparation brésilienne sur un coup franc de Deisler. M. Chandía siffle à nouveau penalty, mais cette fois en faveur de l'Allemagne. Ballack se charge lui-même d'exécuter la sentence et expédie une frappe puissante qui ne laisse aucune chance à Dida (2-2, 45’+3).
En seconde mi-temps, Parreira le sélectionneur brésilien, fait entrer Cicinho en lieu et place de Maicón. Les Sud-américains sont d'ailleurs les premiers en action, lorsque Robinho tente sa chance des 16 mètres, obligeant Lehmann à un bel arrêt. C'est ensuite Adriano qui s'essaie, sur un nouveau coup franc aux 20 mètres, mais son tir, encore dévié par le mur, passe cette fois-ci à côté du but.
Les Brésiliens continuent à presser la défense allemande et, à la 56e minute de jeu, Ronaldinho, au terme d'une magnifique action individuelle, trouve Gilberto totalement démarqué à l'entrée de la surface de réparation. Le milieu de terrain d'Arsenal semble idéalement placé mais sa frappe manque le cadre.
A la 63e minute, Jürgen Klinsmann décide de faire sortir Kevin Kuranyi, très discret jusque-là, et lance Gerald Asamoah. Celui-ci se met rapidement en évidence en servant Ballack dans la surface de réparation brésilienne, mais le tir du meneur de jeu allemand atterrit directement dans les bras de Dida.
Deisler se voit ensuite accorder un bon coup franc à une vingtaine de mètres du but, sur le côté gauche. Malheureusement, le tir du milieu de terrain du Bayern, trop travaillé, passe largement au-dessus de la transversale.
L'Allemagne prend de l'assurance dans le jeu mais, comme en première mi-temps, ce sont les Brésiliens qui se montrent les plus réalistes. Les joueurs de Klinsmann reçoivent un premier avertissement sur une tête de Lucio seul aux six mètres, qui passe tout près du poteau. Sur l'action suivante, Adriano redonne l'avantage aux champions du monde. Le buteur de l'Inter Milan passe en force devant Huth et, seul face à Lehmann, il expédie une frappe puissante qui ne laisse aucune chance au portier allemand (2-3, 76’).
Renato remplace Kaka côté brésilien, mais les visiteurs continuent à se procurer les meilleures occasions. Lehmann doit tout d'abord se montrer vigilant sur une frappe instantanée de Robinho, avant de se détendre pour écarter un boulet de canon de Cicinho.
A dix minutes du coup de sifflet final, Jürgen Klinsmann décide de tenter le tout pour le tout, en lançant un nouvel attaquant dans la bataille. Deisler, auteur d'un match remarquable, laisse alors sa place à Mile Hanke pour permettre à l'Allemagne d'évoluer dans un système à trois pointes.
Portés par un public en délire, les Allemands y auront cru jusqu'au bout, mais la défense brésilienne, parfaitement en place, ne leur aura laissé pratiquement aucune occasion.
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Tu as des origines allemandes ou un lien spécial avec l'Allemagne ?
Pas de chance, en plus le Brésil a aussi éliminé l'Allemagne lors du mondial des moins de 20 ans
Revanche l'année prochaine, dans une vraie compétition qui compte pour autre chose que du beurre...
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Non pas d'origine allemande, dans les 2 derniers siècles du moins 
J'aime tout simplement la Nationalmannschaft...Déception en 2002...Énorme déception en 2004...Mais peut être de l'espoir pour l'an prochain
Disons que dans mon entourage je suis un des seul qui n'est pas un partisan de la France
Ca a peut être apparu en réaction a une surexposition à des supporters francais...lol...je rigole.......Désolé, pour nos amis francais..
Mais bon, il n'y a rien de particulier relié à ce pays... Aussi bizarre que ca paraisse...lol...Juste un style de jeu que j'aime bien...
J'aime bien aussi le FC Bayern et St Pauli...

J'aime tout simplement la Nationalmannschaft...Déception en 2002...Énorme déception en 2004...Mais peut être de l'espoir pour l'an prochain

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- Localisation : Kop [Section 132], Plateau
Déception en 2002???????
On parle de la même équipe? Celle qui n'était pas top mais qui se rend en finale en grande partie grâce à un parcours facile: Arabie S., Cameroon, Irlande, Paraguay, É-U, Corée.
2002 c'est tout sauf une déception. Oui, ça fait mal de perdre une finale, mais les Allemands n'avaient aucune affaire là.
On parle de la même équipe? Celle qui n'était pas top mais qui se rend en finale en grande partie grâce à un parcours facile: Arabie S., Cameroon, Irlande, Paraguay, É-U, Corée.
2002 c'est tout sauf une déception. Oui, ça fait mal de perdre une finale, mais les Allemands n'avaient aucune affaire là.