Pour résumer :
1) Y a jamais eu d'Aztèques au Texas
2) La pyramide utilisée dans le logo est maya et non aztèque
3) Y a un de X dans le nom, comme on faisait dans les années 90 pour faire "cool"
C'est un atelier sur comment ne pas choisir un nom ou quoi?
Bxl Boy a écrit :Austin Potters ?
On pourrait presque en faire un film
Hehe...
Non mais sérieusement, tant qu'à reprendre les couleurs et l'uniforme de Stoke, pourquoi pas Austin City FC (ou SC, pour les puristes nord-américains). Me semble que ça tombe sous le sens...
Mpenza a écrit :Pour résumer :
1) Y a jamais eu d'Aztèques au Texas
2) La pyramide utilisée dans le logo est maya et non aztèque
3) Y a un de X dans le nom, comme on faisait dans les années 90 pour faire "cool"
C'est un atelier sur comment ne pas choisir un nom ou quoi?
C'est plutôt un atelier signé USL.
“If the TFC were playing down the bottom of my garden, I'd draw the curtains.”
J'avoue que les X et le "mispelling" volontaire c'est pas fort fort...
Tant qu'à y aller avec cette option là, ils auraient pu les appeler les Hi-Tex..
vu les nombreux sièges sociaux de grandes entreprise de haute technologie et pour faire le jeu de mot avec l'État dont Austin est la capitale.
Pour ce qui est des couleurs, voilà le sceau officiel de la ville:
Le problème avec les noms d'équipes en Amérique du Nord c'est que l'équipe a toujours un surnom débile comme nom officiel.
ps: comme pour l'Attak.. c'était vraiment nécessaire d'enlever le C?
xdukex a écrit :ps: comme pour l'Attak.. c'était vraiment nécessaire d'enlever le C?
Ben ouais parce que si tu l'enlèves pas, ça en fait un nom anglais.
Faut-il vraiment rappeler qu'un des principaux partenaires de l'Impact est le Gouvernement du Québec?
Un nom unilingue français par contre, ça serait bien passé et ça aurait probablement pas causé un tollé de protestation... Dommage qu'on se retrouve avec un truc aussi insignifiant comme nom.
"I can't say much, but one day I will. One day I will." - Marc Dos Santos speaking to travelling UM02 members in Baltimore about his position with the front office.
pourquoi n'ai-je plus d'enthousiasme à la venue d'une nouvelle équipe...
je crois que ce n'est pas la usl qui me pose problème mais bien le manque d'intérêt des gens dans les autres marchés. il manque un petit quelque chose...
Il manque un gros quelque chose. Par exemple, l'an dernier, alors que la saison était déjà amorcé, je suis passé au stade du Victory de SF, pour voir de quoi ça avait l'air puisque j'étais dans le coin. Et il fallait être devin (ou bien informé) pour savoir que le Victory allait y jouer ses matchs. J'ai vu des annonces pour du foot universitaire féminin, mais rien d'autre.
Le problème, c'est qu'on laisse entrer n'importe qui dans cette ligue. T'as du fric? Bien! Tu veux une équipe? Super. T'as pas encore de stade? En fait, tu sais même pas où tu vas jouer tes matchs locaux? C'est un détail. T'es tellement clown que t'as l'intention de recycler les vieux uniformes de ton équipe espagnole, avec le logo de la LFP et tout? Bah, tant que t'as le fric...
Les USL, c'est du soccer de niveau mineur aux saveurs de ligue de garage et ça le restera pendant encore longtemps.
Mpenza a écrit :Il manque un gros quelque chose. Par exemple, l'an dernier, alors que la saison était déjà amorcé, je suis passé au CCR, pour voir de quoi ça avait l'air puisque j'étais dans le coin. Et il fallait être devin (ou bien informé) pour savoir que l'Impact allait y jouer ses matchs. J'ai vu des annonces pour un le 250e de Montréal (1992), mais rien d'autre.
Corrigé .
Dernière modification par Daniel le 31 janvier 2008 16:54, modifié 2 fois.
l'ami francki a écrit :j'étais au match à québec ou il y avait 11 000 personnes et la seule chose qui a fait réagir la foule c'est un peu de pluie en seconde mi-temps...
Ah ben ça c'est pareil ici... En fait, quand il pleut, ils foutent le camp.
Menacée de perdre plusieurs marchés aux mains de la MLS, la USL a annoncé vendredi que la ville de Tampa Bay intégrera le circuit en 2010.
Après avoir fait les beaux jours de la défunte Ligue nord-américaine de soccer de 1975 à 1984, les Rowdies de Tampa Bay renaîtront de leurs cendres dans deux ans en accédant à la Première Division USL, circuit où évoluent présentement l'Impact de Montréal et les Whitecaps de Vancouver.
Les Rowdies avaient survécu en quelque sorte à la disparition de la NASL pour devenir un de clubs originaux de l'ASL, ancêtre de l'actuelle Première Division USL. Cette deuxième vie a duré de 1988 à 1993, avant de s'éteindre pour de bon.
Cette fois, la résurrection est en grande partie due au partenariat entre David Laxer, un restaurateur local, et Hinds Howard, un homme d'affaires de Boston, qui ont acheté les droits de la franchise. La formation fera revivre l'uniforme vert et or à l'été 2009 avec une série de matchs amicaux, avant de joindre les rangs du circuit l'été suivant.
Les autorités locales viennent d'octroyer les droits de construction d'un complexe de soccer qui comprendra 30 terrains, dont un stade de 7000 places au coût de 40 millions de dollars dans le comté de Hillsborough, situé au nord-ouest de la ville.
Un peu d'histoire
Les Rowdies de Tampa Bay ont rapidement fait sentir leur présence en remportant le Soccer Bowl, symbole de la suprématie dans le soccer professionnel nord-américain à leur première année dans le circuit, en 1976.
L'équipe était alors dirigée par un certain Eddie Firmani, qui allait plus tard devenir l'entraîneur-chef du Manic (1981-1982) et de l'Impact de Montréal (1993
Section Ludovica --> Pour une équipe pro à Québec!