nick8 a écrit :De Big Soccer:
''bending of the salary cap'' ou comment contourner le plafond salarial:
Inspired by the comments from Steve Nicol saying that LA/NY knows the rules and how to bend them, I wanted to make a list of ways teams could bend the salary cap rules, if I am missing a current rule please let me know.
1. Player/Coach
2. Sponsorships
3. Revenue Sharing
*avertissement, c'est un long post. Utilisez la roulette de votre souris si c'est trop long*
Je n'ai pas lu toutes les règles de la MLS mais, en général, elles sont faites pour empêcher cela.
1.Un salaire de joueur/coach serait considéré comme un salaire de joueur. La seule façon de contourner la règle serait de faire une entente verbale (je suis sûr que Ching c'est cela. Brodeur au hockey).
Mais t'as besoin de connaître et truster ton proprio pour faire ça. C'est un risque pour le joueur.
Sinon tous les salaires seraient des salaires minimums et tous les joueurs passeraient la moppe dans le vestiaire une fois par an pour le salaire d'un million de $.
De la même façon, les joueurs qui ont un contrat "de base plus boni"; normalement les ligues considèrent la totalité du salaire dans la masse salariale et déduisent à la fin de la saison (en fait, pas besoin de déduire puisque l'équipe était ok en début de saison, mais y'a parfois des sommes qui peuvent-être transférées d'une année à l'autre). Bref, c'est l'inverse d'une garantie en automobile: 5 ans/100 000km, premier terme. En masse salariale: salaire+boni=calculé dans la masse salariale.
C'est aussi pour ça que le CH n'a pas pu emmener les pères des joueurs en Floride (voilà quelques années) pour une fin de semaine CAR la dépense de cela aurait été calculée dans la masse salariale.
2.Sponsorship: normalement, si ça vient du proprio, c'est certain que c'est interdit: l'exemple flagrant serait Redbull.
Henry ne peut pas gagner 50k$ par an à jouer au soccer et 4M$ à nous dire de boire du RedBull.
Par contre, un commendataire (exemple Saputo inc, qui n'est pas propriétaire de l'équipe, c'est la famille Saputo mais c'est borderline)
(exemple 2: Kia voulait peut-être donner 1 million pas an à l'Impact pour être avec eux (totalement dans les airs).
Tu dis à Kia, donne-nous 0.6M$ mais on veut que tu commandites nos joueurs pour 0.4M$)
Si j'étais crosseur, c'est là que je mettrais mes efforts. Pas dans l’extrême, mais pour faire passer un 400k$ (DP) à un 275 000k$...
C'est aussi dans ce genre de deal que les crosses se font en NCAA.
3.Revenue Sharing:
C'est sur contrat avec le club, ça va être considéré comme un salaire.
C'est sûr qu'il va y avoir des ajustements (ex: on pensait donner au joueur 1M$ pour la vente de chandail mais on ne lui a donné que 0.5M$ car il n'est pas populaire) mais c'est grosso modo du salaire et ça va compter dans la masse salariale, c'est certain.
Bref, c'est comme dans n'importe quoi.
Tu peux jouer l'anguille avec l'impôt aussi. Mais si tu te promènes avec une Rolls quand t'es sur le BS, tu risques de te faire vérifier.
Je pense que la meilleure façon de contourner un plafond salarial c'est:
-signer de bons jeunes prometteurs pour longtemps
-(donc) Académies
-avoir une bonne relation avec les commendataires
-mettre le paquet dans le staff (entraîneurs, médecins). Non seulement c'est pas dans la masse salariale mais les joueurs savent qu'ils risquent de s'améliorer avec un bon entraîneur et prolonger leur carrière avec un bon médecin.
-l’intangible: esprit de famille (à l'accueil, pendant le séjour, tout le reste de ta vie tu sera bienvenue au club), l'aide au déménagement, facilitation de parrainage pour l'immigration. Par exemple à l'Ajax (désolé) les joueurs qui ont été vendus reviennent souvent voir les matchs, aider les jeunes, ont des matchs à leur honneur, deviennent entraîneurs après leur carrière, viennent faire leur tour (comme chez les anciens Canadiens), les fans ne sont pas offusqués quand le gars part pour un plus grand club (ils sont honorés)... quand t'as le choix entre ça et aller vers un club de mercenaires
etc.
Bref, Ballack qui passe le balais; plutôt improbable.
After the game is before the game [d'un gars qui avait perdu].